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AGENCE CENTRAFRIQUE DE PRESSE "AGENCE DE L'UNITE NATIONALE"- République Centrafricaine, Bangui
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MALGRE LA CAMPAGNE DE DESINFORMATION, LA REPUBLIQUE CENTRAFRICAINE AVANCE

Malgré la Campagne de désinformation, la République Centrafricaine avance
Il est désormais de mode, pour tout individu isolé, d’accéder aux médias à peu de frais à l’heure de l’internet, et d’y répandre toute sorte de sujets, même les plus abjects, pour donner libre cours à ses fantasmes.



Ainsi, certains centrafricains abonnés à la désinformation et à la manipulation politique et vivant dans leur cocon à l’étranger, sont en passe de devenir des donneurs de leçons pour les dirigeants des institutions de la République. Malheureusement, ils n’utilisent pas leur logos pour faire du lobbying en faveur de la République Centrafricaine, si ce pays leur est cher.

Il nous est souvent donné de constater que ces désinformations se recrutent parmi des gens aigris pratiquant des règlements de comptes par médias interposés. Et pour cause : le changement du 15 mars 2003 les a privés du lait et du miel qui leur coulaient gratuitement dans le gosier.
Quel crédit apporter aux pseudos articles et jérémiades diffusés sur les sites Internet attitrés et qui sont repris sans discernement ou de manière innocente par certains médias locaux ?

Nous n’aurons de cesse de le dire : Le parti-pris de la désinformation ne constitue pas un objectif noble ou ennoblissant pour leurs auteurs. Bien au contraire. D’ailleurs, pourquoi n’osent-ils venir à Bangui pour ceux d’Europe, ou aller en provinces pour ceux de Bangui, au contact du vécu quotidien ? Ils auraient déjà divorcé d’avec les idées préconçues qu’ils véhiculent. Car, la République Centrafricaine a beaucoup, beaucoup changé depuis le 15 mars 2003. Les centrafricains, jeunes et adultes, travailleurs et paysans, se lèveraient comme un seul homme, pour leur faire ravaler leurs visions apocalyptiques.

Aujourd’hui, c’est bien l’heure de la vérité des faits et des chiffres, et non des discours démagogiques. Les centrafricains savent juger les acteurs politiques d’hier et d’aujourd’hui à l’aune de leurs réalisations concrètes, à leurs bilans, et non pour le nombre de fois où ils noircissent l’image du Président de la République. Se contenter de « Casser du BOZIZE » est la preuve que les détracteurs manquent d’imagination.

La lutte politique ne se fait pas par procuration. Elle se fait ici sur le terrain, de manière quotidienne, pour le bien des populations. Il est donc présomptueux et indécent de se contenter d’évoquer à tout bout de champ le nom de François BOZIZE pour justifier ses échecs pour lesquels l’histoire les a déjà jugés.

Pour un ancien dirigeant de l’Etat au passé peu reluisant, ameuter la presse pour amplifier le moindre pet émis on ne sait dans quelles conditions, c’est verser dans l’hérésie, c’est aussi se moquer des travailleurs, de la Jeunesse, des paysans et des femmes n’ayant pas perçu leurs salaires et gains dans le passé. Ceux-là ne voudraient plus être perturbés dans l’amélioration positive de leurs situations sociales.

Enfin, disons aux marchands d’illusions qui se cachent derrière les vieilles enseignes de monarchistes hâtivement peintes aux couleurs de la démocratie, disons à tous ces rêveurs et calculateurs qui échafaudent des plans suicidaires, que le centrafricain est mâture, que le peuple les attend au tournant de l’histoire, que leurs parents n’auront plus le réflexe tribal d’antan et leurs réclameront des comptes le moment venu, que l’électorat est une réalité locale et non du virtuel.

Nous comprenons aussi pourquoi nos prétendus leaders charismatiques se refusent de prendre le chemin des villages et communes rurales, et préfèrent dépenser des fortunes -à l’origine douteuse et justifiée- pour prendre l’avion et aller se réfugier dans le confort douillet des palaces étrangers d’où ils abreuvent les médias candides de leur venin, au nom de la liberté d’expression.
Pendant ce temps, la République Centrafricaine avance , même à petits pas. C’est l’essentiel, n’est ce pas ?





Vendredi 14 Mai 2010
David GBANGA

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