POLITIQUE
Organisé par le ministère de l’Agriculture et du Développement Rural en partenariat avec l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), cet atelier a pour objectif d’informer les parties prenantes sur le processus, de mobiliser les personnes impliquées pour créer une dynamique de groupe et de discuter les modalités pratiques de collaboration FAO-Gouvernement centrafricain dans le cadre de ce processus et de recueillir les attentes de la partie nationale.
Le ministre Fidèle Gouandjika a déclaré que le gouvernement sollicite l’assistance de la FAO pour les actions de plaidoyer en faveur de son programme national de sécurité alimentaire, et contribuer à la relance de la croissance économique nationale afin d’améliorer le cadre de vie de la population.
Selon le ministre Fidèle Gouandjika, une augmentation des ressources intérieures et extérieures pourrait aider le pays post-conflit comme la République Centrafricaine à soutenir cette dynamique.
La représentante de la FAO Mme Fall Rokaya a indiqué que le cadre de programme pays (CPF) devrait être vu comme un résultat essentiel de toutes les réformes qui s’intègrent du reste comme une contribution importante de la FAO au processus de programmation conjointe des Nations Unies de l’UNDAF.
Elle a par ailleurs souligné que la République Centrafricaine fait partie des pays pionniers en terme de formulation au niveau de l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et de l’Agriculture.
Il est à noter que cet atelier d’une journée a regroupé une quarantaine de participants venus des différentes couches sociales confondues dont le personnel du Système des Nations Unies.
Le ministre Fidèle Gouandjika a déclaré que le gouvernement sollicite l’assistance de la FAO pour les actions de plaidoyer en faveur de son programme national de sécurité alimentaire, et contribuer à la relance de la croissance économique nationale afin d’améliorer le cadre de vie de la population.
Selon le ministre Fidèle Gouandjika, une augmentation des ressources intérieures et extérieures pourrait aider le pays post-conflit comme la République Centrafricaine à soutenir cette dynamique.
La représentante de la FAO Mme Fall Rokaya a indiqué que le cadre de programme pays (CPF) devrait être vu comme un résultat essentiel de toutes les réformes qui s’intègrent du reste comme une contribution importante de la FAO au processus de programmation conjointe des Nations Unies de l’UNDAF.
Elle a par ailleurs souligné que la République Centrafricaine fait partie des pays pionniers en terme de formulation au niveau de l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et de l’Agriculture.
Il est à noter que cet atelier d’une journée a regroupé une quarantaine de participants venus des différentes couches sociales confondues dont le personnel du Système des Nations Unies.
