POLITIQUE
Toutes ces mutations ont pour but de donner une impulsion nouvelle au secteur des médias, notamment l’audiovisuel, caractérisé 38 ans durant par la léthargie.
S’adressant particulièrement aux responsables de Startimes, le Ministre Alfred Taïnga Poloko leur a recommandé d’en faire « une entreprise citoyenne pour qu’elle contribue, par le paiement de ses impôts, pour le développement de la République Centrafricaine ».
Pour ce qui est de l’Institut Supérieur des Métiers de l’Audiovisuel, le Ministre a annoncé que dans deux mois, 20 cadres centrafricains du Ministère de la Communication se rendront à Cotonou pour suivre une formation afin de répondre aux nouvelles exigences de la télévision centrafricaine qui est dotée de nouveaux équipements numériques et dont les signaux ont été basculés sur satellite le 13 novembre 2011.
S’agissant de Startimes qui a lancé ses premières émissions à Bangui le 16 août 2010, ses nouveaux produits comprennent ‘TV mobile’ pour le téléphone portable, ‘TV voiture’ pour les véhicules et ‘TV portable’ pour les microordinateurs. Il existe également un modèle en MP4. C’est ce qui a fait dire à M. Pang Xin-Xing, Président Directeur du Groupe Startaimes, de dire qu’avec TV mobile, les abonnés peuvent recevoir les signaux n’importe où, surtout le réseau couvre Bangui et que l’entreprise étudie l’opportunité de l’étendre sur l’ensemble du territoire centrafricain.
M. Pang Xin-Xing est également d’avis que Startimes est disposé pour accompagner la Télévision centrafricaine à travailler ses images pour soigner l’image de la République Centrafricaine à l’extérieur.
Les cinq chaînes thématiques auxquelles a fait allusion le Directeur général de la Télévision Centrafricaine, M. Michel Ouambéti, sont : TVCA Info, TVCA culture, TVCA Sport, TVCA Académie et TVCA espace parlementaire, qui sont diffusées, en plus des programmes traditionnelles de la Télévision Centrafricaine, en boucle.
Comme l’a souhaité M. Michel Ouambéti, ses collaborateurs doivent « réfléchir et concevoir de bons programmes pour produire beaucoup d’émissions afin de satisfaire le public centrafricain de plus en plus exigeant ».
S’adressant particulièrement aux responsables de Startimes, le Ministre Alfred Taïnga Poloko leur a recommandé d’en faire « une entreprise citoyenne pour qu’elle contribue, par le paiement de ses impôts, pour le développement de la République Centrafricaine ».
Pour ce qui est de l’Institut Supérieur des Métiers de l’Audiovisuel, le Ministre a annoncé que dans deux mois, 20 cadres centrafricains du Ministère de la Communication se rendront à Cotonou pour suivre une formation afin de répondre aux nouvelles exigences de la télévision centrafricaine qui est dotée de nouveaux équipements numériques et dont les signaux ont été basculés sur satellite le 13 novembre 2011.
S’agissant de Startimes qui a lancé ses premières émissions à Bangui le 16 août 2010, ses nouveaux produits comprennent ‘TV mobile’ pour le téléphone portable, ‘TV voiture’ pour les véhicules et ‘TV portable’ pour les microordinateurs. Il existe également un modèle en MP4. C’est ce qui a fait dire à M. Pang Xin-Xing, Président Directeur du Groupe Startaimes, de dire qu’avec TV mobile, les abonnés peuvent recevoir les signaux n’importe où, surtout le réseau couvre Bangui et que l’entreprise étudie l’opportunité de l’étendre sur l’ensemble du territoire centrafricain.
M. Pang Xin-Xing est également d’avis que Startimes est disposé pour accompagner la Télévision centrafricaine à travailler ses images pour soigner l’image de la République Centrafricaine à l’extérieur.
Les cinq chaînes thématiques auxquelles a fait allusion le Directeur général de la Télévision Centrafricaine, M. Michel Ouambéti, sont : TVCA Info, TVCA culture, TVCA Sport, TVCA Académie et TVCA espace parlementaire, qui sont diffusées, en plus des programmes traditionnelles de la Télévision Centrafricaine, en boucle.
Comme l’a souhaité M. Michel Ouambéti, ses collaborateurs doivent « réfléchir et concevoir de bons programmes pour produire beaucoup d’émissions afin de satisfaire le public centrafricain de plus en plus exigeant ».
