POLITIQUE
L’objectif de ce projet est de venir à la rescousse de l’Energie Centrafricaine (ENERCA) afin d’illuminer certains endroits sombres de Bangui et ses environs suivant l’étude de faisabilité faite en collaboration avec la partie chinoise, du 10 au 17 août dernier. Rappelons que l’ENERCA est la société nationale de production, de transport et de commercialisation de l’électricité
Les trois phases de ce projet sont : l’étude de faisabilité, la signature du contrat et l’exécution proprement dite.
Les sites identifiés comprennent l’axe qui mène de Bégoua (PK 12) aux 100 logements ; la liaison entre la maternité et l’école de Bégoua, la bretelle jouxtant le stade Omnisport et reliant l’avenue des Martyrs et l’avenue de l’indépendance, ainsi que l’enceinte des huit commissariats de police de Bangui.
Selon le Ministre Léopold Mboli Fatran, la sécurité constitue la base du choix des sites précités. Il a renchéri que pour l’instant, ce projet ne concerne que l’éclairage public de la capitale Bangui et ses environs.
Le membre du gouvernement a fait savoir que l’énergie solaire est coûteuse en termes d’investissement mais il s’agit d’une énergie quasiment gratuite dès lors que l’énergie est captée de jour puis déclenche le mécanisme de l’allumage des lampadaires la nuit de manière automatique.
En 1984, un tel projet avait été initié à Damara, localité située à 75 kilomètres au nord-ouest de Bangui. Malheureusement, ce projet n’a été que de courte durée. Pour contourner cet échec, Léopold Mboli Fatran a précisé qu’il a discuté avec les partenaires pour que les batteries qui sont installées sur ces lampadaires soient protégées suivant un dispositif spécial.
Il a profité de cette occasion pour susciter le patriotisme des Banguissois, de sorte que ces installations ne subissent pas les actes de vandalisme, comme ce fut le cas à Guitangola, un quartier de la périphérie du sud de Bangui, où des vandales ont emporté les installations des panneaux solaires d’une pompe alimentant le secteur en eau potable.
Au sujet de la vulgarisation de ce projet, Léopold Mboli Fatran attend d’évaluer d’abord la première phase avant de l’étendre à d’autres villes de l’intérieur confrontées aux difficultés d’électrification. Il en est de même pour la fourniture de l’électricité obtenue par cette source aux particuliers. Entretemps, a-t-il précisé, la question est à l’étude à la Direction de l’Energie de l’ENERCA.
Les trois phases de ce projet sont : l’étude de faisabilité, la signature du contrat et l’exécution proprement dite.
Les sites identifiés comprennent l’axe qui mène de Bégoua (PK 12) aux 100 logements ; la liaison entre la maternité et l’école de Bégoua, la bretelle jouxtant le stade Omnisport et reliant l’avenue des Martyrs et l’avenue de l’indépendance, ainsi que l’enceinte des huit commissariats de police de Bangui.
Selon le Ministre Léopold Mboli Fatran, la sécurité constitue la base du choix des sites précités. Il a renchéri que pour l’instant, ce projet ne concerne que l’éclairage public de la capitale Bangui et ses environs.
Le membre du gouvernement a fait savoir que l’énergie solaire est coûteuse en termes d’investissement mais il s’agit d’une énergie quasiment gratuite dès lors que l’énergie est captée de jour puis déclenche le mécanisme de l’allumage des lampadaires la nuit de manière automatique.
En 1984, un tel projet avait été initié à Damara, localité située à 75 kilomètres au nord-ouest de Bangui. Malheureusement, ce projet n’a été que de courte durée. Pour contourner cet échec, Léopold Mboli Fatran a précisé qu’il a discuté avec les partenaires pour que les batteries qui sont installées sur ces lampadaires soient protégées suivant un dispositif spécial.
Il a profité de cette occasion pour susciter le patriotisme des Banguissois, de sorte que ces installations ne subissent pas les actes de vandalisme, comme ce fut le cas à Guitangola, un quartier de la périphérie du sud de Bangui, où des vandales ont emporté les installations des panneaux solaires d’une pompe alimentant le secteur en eau potable.
Au sujet de la vulgarisation de ce projet, Léopold Mboli Fatran attend d’évaluer d’abord la première phase avant de l’étendre à d’autres villes de l’intérieur confrontées aux difficultés d’électrification. Il en est de même pour la fourniture de l’électricité obtenue par cette source aux particuliers. Entretemps, a-t-il précisé, la question est à l’étude à la Direction de l’Energie de l’ENERCA.
