POLITIQUE
Dans son discours de circonstance, le ministre de la Communication et des Média, Serge-Ghislain Djorie a rappelé l’historique de cette Journée, depuis le sommet de Windhoek en Namibie qui a reconnu le pouvoir des journalistes la déclaration des Nations-Unies le 03 mai comme la Journée mondiale de la liberté de la presse qui est un devoir de mémoire envers les journalistes qui œuvrent au quotidien pour informer aux risques de leur vie.
Le ministre Serge-Ghislain Djorie a demandé aux journalistes de faire preuve de leur capacité intellectuelle pour mieux chercher, traiter et diffuser les informations dans le respect de l’éthique et de la déontologie du métier à l’ère de la technologie de l’information.
Selon le ministre, le thème de cette année « le journalisme sous l’emprise du numérique », évoque l’impact du numérique sur la liberté d’expression et la sécurité des journalistes à l’accès à l’information et à la diffusion.
Il a demandé aux journalistes de faire usage de leur devoir et obligation ainsi que de leur responsabilité d’éthique et de déontologie pour satisfaire le public qui attend de vivre dans la paix et la cohésion sociale.
« J’emploierai des prérogatives qui sont les miennes pour rendre effectif le plan d’action inhérente à la lettre de mission de développement du département dont j’ai la charge et au-delà, accompagner les organisations des médias dans l’aboutissement des objectifs qu’elles se sont fixées. Je transmettrai aux plus hautes autorités du pays, les recommandations assorties de cette journée », a déclaré le ministre de la Communication et des Média.
Quant à la Vice-présidente du Haut Conseil de la Communication, Isabelle-Edith Vackat, la commémoration de cette journée chaque année poursuit un objectif triple à savoir : (1) Rappeler à tous les pays du monde, la nécessité de respecter scrupuleusement leurs engagement en faveur de la liberté de la presse, (2) rappeler aux professionnels des médias le respect de l’éthique professionnel dans la pratique de la liberté de la presse et (3) rappeler à tous êtres humains que les médias qui sont les cibles des mesures de restriction ou d’abolition de la liberté de la presse doivent être soutenus.
« Nous célébrons ce jour du 3 mai 2022, la journée mondiale de la presse dont la pratique est fondamentale pour la démocratie », a déclaré Mme Edith Vackat.
Elle a relevé l’importance de la technologie numérique dans la pratique du journalisme en ce 21eme siècle, car selon elle, le numérique est devenu indispensable dans la collecte, le traitement, la diffusion et publication de l’information.
« Que pouvez-vous faire dans la fabrication de l’information sans vos outils entre autres, les enregistreurs, les appareils photos, les caméras, les ordinateurs, les téléphones portables et les logiciels de montage du son et d’image », s’est-t-elle interrogée.
Par ailleurs, Mme Edith Vackat, a relevé l’emprise du numérique sur le métier du journaliste. Elle invite les journalistes à évoluer dans une démarche d’apprentissage permanent de l’utilisation des technologies numériques qui cache aussi des effets pervers à vocation déstabilisatrice du métier, car le journaliste doit faire usage de prudence dans l’usage de ces outils numériques où les ennemis de la liberté de la presse se battent pour remettre en cause le noble métier du journaliste.
Notons que cette journée a été effective grâce à l’appui technique et financier de la MINUSCA, du Réseau des Médias Communication de Centrafrique (RMCC), de l’Union Européenne et de l’Union des Journalistes Centrafricains (UJCA).
Le ministre Serge-Ghislain Djorie a demandé aux journalistes de faire preuve de leur capacité intellectuelle pour mieux chercher, traiter et diffuser les informations dans le respect de l’éthique et de la déontologie du métier à l’ère de la technologie de l’information.
Selon le ministre, le thème de cette année « le journalisme sous l’emprise du numérique », évoque l’impact du numérique sur la liberté d’expression et la sécurité des journalistes à l’accès à l’information et à la diffusion.
Il a demandé aux journalistes de faire usage de leur devoir et obligation ainsi que de leur responsabilité d’éthique et de déontologie pour satisfaire le public qui attend de vivre dans la paix et la cohésion sociale.
« J’emploierai des prérogatives qui sont les miennes pour rendre effectif le plan d’action inhérente à la lettre de mission de développement du département dont j’ai la charge et au-delà, accompagner les organisations des médias dans l’aboutissement des objectifs qu’elles se sont fixées. Je transmettrai aux plus hautes autorités du pays, les recommandations assorties de cette journée », a déclaré le ministre de la Communication et des Média.
Quant à la Vice-présidente du Haut Conseil de la Communication, Isabelle-Edith Vackat, la commémoration de cette journée chaque année poursuit un objectif triple à savoir : (1) Rappeler à tous les pays du monde, la nécessité de respecter scrupuleusement leurs engagement en faveur de la liberté de la presse, (2) rappeler aux professionnels des médias le respect de l’éthique professionnel dans la pratique de la liberté de la presse et (3) rappeler à tous êtres humains que les médias qui sont les cibles des mesures de restriction ou d’abolition de la liberté de la presse doivent être soutenus.
« Nous célébrons ce jour du 3 mai 2022, la journée mondiale de la presse dont la pratique est fondamentale pour la démocratie », a déclaré Mme Edith Vackat.
Elle a relevé l’importance de la technologie numérique dans la pratique du journalisme en ce 21eme siècle, car selon elle, le numérique est devenu indispensable dans la collecte, le traitement, la diffusion et publication de l’information.
« Que pouvez-vous faire dans la fabrication de l’information sans vos outils entre autres, les enregistreurs, les appareils photos, les caméras, les ordinateurs, les téléphones portables et les logiciels de montage du son et d’image », s’est-t-elle interrogée.
Par ailleurs, Mme Edith Vackat, a relevé l’emprise du numérique sur le métier du journaliste. Elle invite les journalistes à évoluer dans une démarche d’apprentissage permanent de l’utilisation des technologies numériques qui cache aussi des effets pervers à vocation déstabilisatrice du métier, car le journaliste doit faire usage de prudence dans l’usage de ces outils numériques où les ennemis de la liberté de la presse se battent pour remettre en cause le noble métier du journaliste.
Notons que cette journée a été effective grâce à l’appui technique et financier de la MINUSCA, du Réseau des Médias Communication de Centrafrique (RMCC), de l’Union Européenne et de l’Union des Journalistes Centrafricains (UJCA).
