POLITIQUE
« Pour cette 32ème Edition, la Journée Mondiale de la Liberté de la Presse est centrée sur le Thème : Informer dans un monde complexe -Impacts de l’Intelligence Artificielle sur la Liberté de la presse et les Médias. Au niveau national le thème retenu est : Les professionnels des médias, face aux défis de l’intelligence artificielle » a déclaré le ministre.
Selon la déclaration du ministre, l’évolution du contexte socio-politique actuel en République Centrafricaine est marquée par des impacts des crises mettant en difficulté divers aspects de l’importance de la liberté de la presse.
« Les impacts positifs de ces efforts ont permis à la République centrafricaine de connaître une évolution dans le classement mondial dans le cadre de la liberté de presse et d’expression au regard du rapport de Reporters Sans Frontières (RSF) qui place la RCA à la 72ème place, soit deux pas de plus » a-t-il ajouté.
La loi N°20.027 promulguée par le Chef de l’Etat le 21 décembre 2020 qui vise à corriger les insuffisances de l’ordonnance 05.002 du 22 février 2005 et à protéger les organes de presse, de rendre crédibles les professionnels des Médias et à faciliter la régulation de l’espace médiatique est une garantie pour la liberté de la presse en Centrafrique a confirmé le ministre Maxime Balalou.
Le Ministre se félicite dans cette déclaration des efforts accomplis dans l’exercice de ce métier des journalistes malgré leurs difficiles dans leurs conditions de travail.
« C’est le signe du patriotisme et d’une responsabilité dans la recherche, le traitement et la mise à la disposition du public centrafricain, des informations fiables et crédibles garantissant une visibilité et la lisibilité les actions gouvernementales » a-t-il réaffirmé dans sa déclaration.
Précisons que cette journée a été instituée par l’Unesco lors d’une Assemblée Générale du 03 mai 1991 à Windhoek en Namibie et a été une occasion pour l’ensemble des Professionnels de Médias africains de débattre de la promotion d’une presse indépendante et pluraliste en Afrique.
Selon la déclaration du ministre, l’évolution du contexte socio-politique actuel en République Centrafricaine est marquée par des impacts des crises mettant en difficulté divers aspects de l’importance de la liberté de la presse.
« Les impacts positifs de ces efforts ont permis à la République centrafricaine de connaître une évolution dans le classement mondial dans le cadre de la liberté de presse et d’expression au regard du rapport de Reporters Sans Frontières (RSF) qui place la RCA à la 72ème place, soit deux pas de plus » a-t-il ajouté.
La loi N°20.027 promulguée par le Chef de l’Etat le 21 décembre 2020 qui vise à corriger les insuffisances de l’ordonnance 05.002 du 22 février 2005 et à protéger les organes de presse, de rendre crédibles les professionnels des Médias et à faciliter la régulation de l’espace médiatique est une garantie pour la liberté de la presse en Centrafrique a confirmé le ministre Maxime Balalou.
Le Ministre se félicite dans cette déclaration des efforts accomplis dans l’exercice de ce métier des journalistes malgré leurs difficiles dans leurs conditions de travail.
« C’est le signe du patriotisme et d’une responsabilité dans la recherche, le traitement et la mise à la disposition du public centrafricain, des informations fiables et crédibles garantissant une visibilité et la lisibilité les actions gouvernementales » a-t-il réaffirmé dans sa déclaration.
Précisons que cette journée a été instituée par l’Unesco lors d’une Assemblée Générale du 03 mai 1991 à Windhoek en Namibie et a été une occasion pour l’ensemble des Professionnels de Médias africains de débattre de la promotion d’une presse indépendante et pluraliste en Afrique.
