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une promesse est une dette : mettre fin aux violences faites aux femmes

Le Secrétaire général adjoint de l’Organisation des Nations Unies et directeur exécutif de l’UNFPA, le Dr. Osotimehin Babatunde en prélude de la journée internationale de la femme célébrée le 8 mars prochain dans un message intitulé « une promesse est une dette : mettre fin aux violences faites aux femmes » dont voici l’intégralité du texte.



A l’occasion de la journée internationale de la femme, « je tiens à saisir cette opportunité, pour renouveler l’engagement de l’UNFPA, Fonds des Nations Unies pour la Population, à renforcer et élargir nos efforts pour faire tout ce qui est en notre pouvoir, afin de mettre un terme à la violence  sexiste. La violence sexiste demeure une préoccupation majeure en matière de santé et de droits fondamentaux et le développement humain est irréalisable tant que femmes et filles continuent de souffrir de la violence ou vivent dans la crainte d’en être victimes.
Cette année, la Journée internationale de la femme coïncide avec la réunion en cours au siège de l’ONU, à New York, de la Commission de la condition de la femme, qui cette année centre ses débats sur le thème prioritaire de la Lutte contre la violence à l’égard des femmes.
Dans le monde entier, des millions de femmes et de filles sont exposées à toutes les formes de violence, notamment le viol, la violence exercée par leur partenaire, les mutilations génitales féminines, les mariages d’enfants et la violence sexuelle en temps de conflit armé et durant les crises humanitaires.
Les femmes et filles qui font l’objet de violence peuvent souffrir de troubles psychologiques de longue durée, être rejetées par leur famille et leur communauté, et se voir refuser la chance de recevoir des soins de santé et d’accéder à l’autosuffisance économique. En outre, il s’y ajoute des effets physiques directs. La violence sexuelle peut causer une grossesse non désirée, un avortement pratiqué dans des conditions dangereuses, une fistule obstétricale et des infections sexuellement transmissibles, dont le VIH - et toutes ces conséquences peuvent être fatales. En tant que membres de la communauté mondiale, nous avons l’obligation de veiller à ce que ces violations des droits fondamentaux prennent fin.
Nous appuyant sur les travaux de la Commission de la condition de la femme, il nous faut nous rassembler et parvenir à un consensus international qui nous rapprochera de l’objectif d’assurer la sécurité des femmes et des filles et de les libérer de la violence ou de la menace de la violence. Ceci est une bonne opportunité pour avoir un impact positif sur des millions de vies. Nous ne pouvons nous permettre de rater cette opportunité ».

Jeudi 7 Mars 2013
ACAP

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