POLITIQUE
Au premier rang de ces actions, il y a un concert de casseroles prévu pour le mercredi 23 janvier à 19 heures, suivi, le lendemain, de ce qu’ils appellent ‘’Centrafrique pays mort’’.
Selon le Secrétaire Général de l’Union Syndicale des Travailleurs de Centrafrique (USTC), M. Noël Ramadan, les travailleurs, les partis politiques et autres associations sont engagés à apporter leur soutien aux différentes actions syndicales.
A la question de la démission du Premier ministre Elie Doté et de son gouvernement intervenue la veille, M. Ramadan pense que « ce ne sont pas les conséquences logiques des actions syndicales », mais « il peut y avoir des raisons profondes ».
La décision des syndicats intervient après deux semaines de grève dans le secteur public et deux jours après une rencontre avec le Président de la République, François Bozizé, qui leur a recommandé la prudence et la poursuite des négociations avec le gouvernement.
Il convient de rappeler que les 6 centrales syndicales du pays réclament du gouvernement le déblocage des effets financiers des avancements gelés depuis 1986, 6 mois d'arriérés de salaires dus par le régime du président Bozizé, et 36 mois d'arriérés de salaires dus par ses prédécesseurs André Kolingba et Ange Félix Patassé.
Selon le Secrétaire Général de l’Union Syndicale des Travailleurs de Centrafrique (USTC), M. Noël Ramadan, les travailleurs, les partis politiques et autres associations sont engagés à apporter leur soutien aux différentes actions syndicales.
A la question de la démission du Premier ministre Elie Doté et de son gouvernement intervenue la veille, M. Ramadan pense que « ce ne sont pas les conséquences logiques des actions syndicales », mais « il peut y avoir des raisons profondes ».
La décision des syndicats intervient après deux semaines de grève dans le secteur public et deux jours après une rencontre avec le Président de la République, François Bozizé, qui leur a recommandé la prudence et la poursuite des négociations avec le gouvernement.
Il convient de rappeler que les 6 centrales syndicales du pays réclament du gouvernement le déblocage des effets financiers des avancements gelés depuis 1986, 6 mois d'arriérés de salaires dus par le régime du président Bozizé, et 36 mois d'arriérés de salaires dus par ses prédécesseurs André Kolingba et Ange Félix Patassé.
