POLITIQUE
Devant les autorités de l'Université de Bangui, d'une multitude d'étudiants, ainsi que de simples citoyens , Mme Marie Reine Hassein a expliqué la vision politique du père fondateur de la République Centrafricaine, B. Boganda en promouvant le panafricanisme.
Elle a indiqué cette vision était de "détruire le cloison des clans, démolir les limites des tribus, renverser les barrières des frontières artificielles et arbitraires", créées par le colonisateur.
"Nous voulons bien sauter sur l’amitié et la solidarité des pays amis, mais nous devons avant tout
compter sur nous-mêmes, sur nos propres efforts et sur nos sacrifices et sur notre volonté d’union", a renchéri M. Hassein
La ministre déléguée au Plan, à l'économie et à la coopération internationale a expliqué que la philosophie de B. Boganda, à travers le panafricanisme, voudrait que l'Afrique compte avant tout sur ses efforts grâce à une solidarité dynamique, gage d'une unité continentale. Car, disait-il, "malheur à l'homme seul".
Dans l'imaginaire de B. Boganda, le développement de l'Afrique devrait passer nécessairement par "l'élimination de la division, du tribalisme, de égoïsme, de l’absence de nationalisme qui, selon lui, ont valu à l'Afrique, 4 siècles de servitude", a fait remarquer Mme Hassein.
« Libérer l’Afrique et les Africains de la servitude, de la misère, tel est le sens de mon existence », a-t-elle indiqué citant les propres termes du Président B. Boganda.
Mais prenant un regard critique sur cette vision politique, Mme Hassein a fait remarquer que « créer au 20ème siècle des poussières d’Etats, c’est une politique rétrograde à courte vue et d’intérêt immédiat, dont le résultat sera la disparition à brève échéance de ces mêmes Etats, et la perte de leur indépendance ».
Cependant, la ministre déléguée au Plan, à l'économie et à la coopération internationale, Marie Reine Hassein a invité le peuple centrafricain à adhérer totalement à la politique du Chef de l'Etat centrafricain François Bozizé, fondée sur le slogan de Kwa na Kwa, c'est-à-dire le travail rien que le travail, en vue de contribuer au développement de la République Centrafricaine.
Elle a indiqué cette vision était de "détruire le cloison des clans, démolir les limites des tribus, renverser les barrières des frontières artificielles et arbitraires", créées par le colonisateur.
"Nous voulons bien sauter sur l’amitié et la solidarité des pays amis, mais nous devons avant tout
compter sur nous-mêmes, sur nos propres efforts et sur nos sacrifices et sur notre volonté d’union", a renchéri M. Hassein
La ministre déléguée au Plan, à l'économie et à la coopération internationale a expliqué que la philosophie de B. Boganda, à travers le panafricanisme, voudrait que l'Afrique compte avant tout sur ses efforts grâce à une solidarité dynamique, gage d'une unité continentale. Car, disait-il, "malheur à l'homme seul".
Dans l'imaginaire de B. Boganda, le développement de l'Afrique devrait passer nécessairement par "l'élimination de la division, du tribalisme, de égoïsme, de l’absence de nationalisme qui, selon lui, ont valu à l'Afrique, 4 siècles de servitude", a fait remarquer Mme Hassein.
« Libérer l’Afrique et les Africains de la servitude, de la misère, tel est le sens de mon existence », a-t-elle indiqué citant les propres termes du Président B. Boganda.
Mais prenant un regard critique sur cette vision politique, Mme Hassein a fait remarquer que « créer au 20ème siècle des poussières d’Etats, c’est une politique rétrograde à courte vue et d’intérêt immédiat, dont le résultat sera la disparition à brève échéance de ces mêmes Etats, et la perte de leur indépendance ».
Cependant, la ministre déléguée au Plan, à l'économie et à la coopération internationale, Marie Reine Hassein a invité le peuple centrafricain à adhérer totalement à la politique du Chef de l'Etat centrafricain François Bozizé, fondée sur le slogan de Kwa na Kwa, c'est-à-dire le travail rien que le travail, en vue de contribuer au développement de la République Centrafricaine.
