POLITIQUE
Le mémorandum d’entente consacre l’agrément entre le département de la Santé et de la Population, les partenaires techniques et financiers et les ONG signataires pour obtenir un large engagement pour leur participation à la mise en œuvre de la feuille de route du système national d’information sanitaire de routine.
Le ministre Pierre Somsé a réitéré que cette signature vient concrétiser l’engagement des partenaires de la République Centrafricaine à promouvoir un système performant qui produit des résultats sur le plan de la couverture et de l’impact.
Selon le membre du gouvernement, ce document s’articule autour des principes de coopération, de partage des données dont la base doit être au ministère de la Santé.
Le chef du département de la Santé a souhaité que ces données ne soient pas seulement dans des rapports ou des articles scientifiques, mais qu’elles soient également utilisées par les populations pour comprendre leur état de santé et ensuite les engager à s’approprier des interventions qui visent à améliorer leur état de santé.
Il convient de noter que cette activité se tient après une année, où tous les partenaires s’étaient réunis pour s’engager à opter pour un système d’information unique pour le pays, conformément à la déclaration de Paris qui veut que les partenaires au développement s’alignent sur les procédures politiques des pays.
Le ministre Pierre Somsé a réitéré que cette signature vient concrétiser l’engagement des partenaires de la République Centrafricaine à promouvoir un système performant qui produit des résultats sur le plan de la couverture et de l’impact.
Selon le membre du gouvernement, ce document s’articule autour des principes de coopération, de partage des données dont la base doit être au ministère de la Santé.
Le chef du département de la Santé a souhaité que ces données ne soient pas seulement dans des rapports ou des articles scientifiques, mais qu’elles soient également utilisées par les populations pour comprendre leur état de santé et ensuite les engager à s’approprier des interventions qui visent à améliorer leur état de santé.
Il convient de noter que cette activité se tient après une année, où tous les partenaires s’étaient réunis pour s’engager à opter pour un système d’information unique pour le pays, conformément à la déclaration de Paris qui veut que les partenaires au développement s’alignent sur les procédures politiques des pays.
