POLITIQUE
L’objectif de cet atelier d’échange est de présenter l’importance du système de base de données du secteur minier pour laquelle la Banque Mondiale a mis à la disposition du Ministère des Mines un consultant qui est venu présenter le résultat de son travail.
Le chargé de Mission en matière des Mines M. Sylvain Marius N’gbatoua a indiqué que la République Centrafricaine dispose un grand nombre de richesses naturelles entre autres les forêts et minerais dont l’exploitation doit permettre le développement du pays.
Selon lui, cet échange s’est déroulé dans le but d’améliorer la qualité de la base de données proposée pour le secteur minier en Centrafrique.
« En outre, pour un développement comme repris en partie dans le Plan national de relèvement et de consolidation de la paix (RCPCA) 2017-2021, le pays doit se doter d’une stratégie de développement durable applicable pour la valorisation de ses ressources naturelles et des secteurs artisanaux et industriels qu’il faut identifier les impacts potentiels à court et moyen terme et d’en limiter les effets négatifs », a martelé le chargé de mission.
Il est à noter que cet atelier d’échange a regroupé les cadres du Département des Mines, les membres du cabinet, les représentants du Secrétariat permanent du processus de Kimberley et également les partenaires.
Le chargé de Mission en matière des Mines M. Sylvain Marius N’gbatoua a indiqué que la République Centrafricaine dispose un grand nombre de richesses naturelles entre autres les forêts et minerais dont l’exploitation doit permettre le développement du pays.
Selon lui, cet échange s’est déroulé dans le but d’améliorer la qualité de la base de données proposée pour le secteur minier en Centrafrique.
« En outre, pour un développement comme repris en partie dans le Plan national de relèvement et de consolidation de la paix (RCPCA) 2017-2021, le pays doit se doter d’une stratégie de développement durable applicable pour la valorisation de ses ressources naturelles et des secteurs artisanaux et industriels qu’il faut identifier les impacts potentiels à court et moyen terme et d’en limiter les effets négatifs », a martelé le chargé de mission.
Il est à noter que cet atelier d’échange a regroupé les cadres du Département des Mines, les membres du cabinet, les représentants du Secrétariat permanent du processus de Kimberley et également les partenaires.
