POLITIQUE
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Le ministre Pierre Somsé a relevé que compte tenu des dommages collatéraux que la communication peut apporter, il s’avère opportun de signer et de mettre en œuvre un code de bonne conduite qui permet de mieux encadrer le rôle des communicateurs dans le contexte de cette pandémie.
Le ministre de la Santé a expliqué que la communication est cruciale, car elle vise au changement de comportement pour la prévention et la gestion efficiente de la riposte contre la pandémie à coronavirus.
« Une communication doit se faire sur la base des principes cardinaux une lutte basée sur des évidences, la protection de la santé publique, le respect des droits humains, le respect de la dignité, la promotion de l’équité et de la compassion, la promotion de la coopération, de la solidarité tant au niveau national qu’international », a admis le membre du gouvernement.
La représentante spéciale adjointe su Secrétaire général des Nations-Unies, Denise Brown, a pour sa part estimé que « aujourd’hui, les professionnels des médias ont signé sous l’égide de la communauté internationale la charte de bonne conduite et donc leur engagement est nécessaire, et qu’ensemble on peut faire face à ce virus ».
Quant à la présidente de l’Observatoire des médias centrafricain (OMCA), Lydie Solange Yahoumbi, la charte de bonne conduite sur la couverture médiatique du COVID-19 et des autres crises de santé publique en Centrafrique que les journalistes et les blogueurs ont paraphé, constitue un engagement important.
« Cette charte engage les médias centrafricains à user de leur compétence, des principes affirmés et des expériences partagées pour accompagner le gouvernement Centrafricain et le monde dans cette lutte contre cette pandémie mondiale qui est le coronavirus », a-t-elle poursuivi.
Il convient de rappeler que la signature de cette charte de bonne conduite fait suite à un atelier de formation organisé à l’intention des journalistes et des blogueurs sur la couverture médiatique dans le contexte du COVID-19
Le ministre de la Santé a expliqué que la communication est cruciale, car elle vise au changement de comportement pour la prévention et la gestion efficiente de la riposte contre la pandémie à coronavirus.
« Une communication doit se faire sur la base des principes cardinaux une lutte basée sur des évidences, la protection de la santé publique, le respect des droits humains, le respect de la dignité, la promotion de l’équité et de la compassion, la promotion de la coopération, de la solidarité tant au niveau national qu’international », a admis le membre du gouvernement.
La représentante spéciale adjointe su Secrétaire général des Nations-Unies, Denise Brown, a pour sa part estimé que « aujourd’hui, les professionnels des médias ont signé sous l’égide de la communauté internationale la charte de bonne conduite et donc leur engagement est nécessaire, et qu’ensemble on peut faire face à ce virus ».
Quant à la présidente de l’Observatoire des médias centrafricain (OMCA), Lydie Solange Yahoumbi, la charte de bonne conduite sur la couverture médiatique du COVID-19 et des autres crises de santé publique en Centrafrique que les journalistes et les blogueurs ont paraphé, constitue un engagement important.
« Cette charte engage les médias centrafricains à user de leur compétence, des principes affirmés et des expériences partagées pour accompagner le gouvernement Centrafricain et le monde dans cette lutte contre cette pandémie mondiale qui est le coronavirus », a-t-elle poursuivi.
Il convient de rappeler que la signature de cette charte de bonne conduite fait suite à un atelier de formation organisé à l’intention des journalistes et des blogueurs sur la couverture médiatique dans le contexte du COVID-19
