M. Tozoui a fait cette observation au cours d’un point de presse qu’il a donné samedi 8 novembre 2008, à Bangui à son cabinet de travail pour présenter les difficultés que traversent l’Enerca et qui ont un impact grave sur l’économie centrafricaine.
«Aujourd’hui toutes les deux usines sont en exploitation à 90% et le délestage se poursuit par rotation de 2x4 heures par secteur », a-t-il signifié.
Pour le Directeur général de l'Enerca, c'est la détermination et le nationalisme de son personnel qui permettent à l'Enerca d'exister, car tout le matériel est vetuste et caduc.
Il a par ailleurs expliqué que certains partenaires au développement de la République Centrafricaine s'étaient engagés à procéder au renforcement des capacités matérielle et technique de l’Enerca, en vue de résoudre de manière durable la crise énergétique dans le pays
"Malheureusement, la réaction de ces partenaires tarde à venir", a-t-il déploré.
Il convient de préciser que la capacité actuelle de production de la centrale thermique de Boali1 est de 18 MW, alors que la demande réelle est de 28 MW.
«Aujourd’hui toutes les deux usines sont en exploitation à 90% et le délestage se poursuit par rotation de 2x4 heures par secteur », a-t-il signifié.
Pour le Directeur général de l'Enerca, c'est la détermination et le nationalisme de son personnel qui permettent à l'Enerca d'exister, car tout le matériel est vetuste et caduc.
Il a par ailleurs expliqué que certains partenaires au développement de la République Centrafricaine s'étaient engagés à procéder au renforcement des capacités matérielle et technique de l’Enerca, en vue de résoudre de manière durable la crise énergétique dans le pays
"Malheureusement, la réaction de ces partenaires tarde à venir", a-t-il déploré.
Il convient de préciser que la capacité actuelle de production de la centrale thermique de Boali1 est de 18 MW, alors que la demande réelle est de 28 MW.