POLITIQUE
Ce point de presse a pour but de présenter le projet d’appuis de l’UE qui s’adosse sur cinq principaux partenaires de mise en œuvre notamment, Concordis, Centre Henry Durant, pour le dialogue humanitaire, Communauté de Saint Egidio, Dan Church Aid et Fondation Hirondelle à hauteur de 9.2 millions d’Euros, soit 6 milliards de F.CFA.
L’Ambassadeur, Chef de la Délégation de l’Union Européenne, Douglas Carpenter a souligné que cette action vise à contribuer à la réduction des tensions inter et intra-communautaires à travers des programmes d’information vérifiés, indépendants et adaptés aux contextes locaux.
« Cette mission est également destinée à améliorer la compréhension des citoyens centrafricains des enjeux et du processus électoral local, grâce à des programmes d’informations vérifiées, indépendantes et adaptées aux contextes de chaque région », a-t-il poursuivi.
Le Chef de la Délégation de l’Union Européenne a précisé que le projet couvre le domaine de la lutte contre la désinformation, la problématique de la transhumance, de la médiation et du dialogue social.
« Il est important de mettre en contexte ce soutien multidimensionnel, sur le côté humanitaire, y compris dans le contexte du développement d’instrument, en vue d’aborder la crise qui est actuellement en cours notamment, l’inflation, la sécurité alimentaire et autre », a relevé Douglas Carpenter.
En ce qui concerne la transition verte, les secteurs sociaux et surtout la santé et la gouvernance avec les grandes réformes dans le pays, l’Ambassadeur, Chef de la Délégation de l’Union Européenne a relevé que l’UE se prépare pour le lancement d’un programme concernant ses différents aspects.
Il a par ailleurs précisé qu’il prend au sérieux la mobilisation des ressources pour l’Accord pour la Paix et la Réconciliation et le Plan de Résilience de Reconstruction de la Centrafrique RCPCA-RCA.
« La feuille de route de Luanda, qui est un vecteur majeur pour les procédures de paix en Centrafrique avec quelques pliés et un engagement de la sous-région pour le suivi des engagements des leaders des groupes armés, la déclaration du cessez-le- feu, le DDRR, les reformes du secteur de sécurité, les stratégies de contrôle des frontières et le processus politique qui comprend les recommandations du Dialogue républicain et le rétablissement de l’autorité de l’Etat, sont les points importants que visent les actions de l’UE », a-t-il fait savoir.
Il faut rappeler que la mission du bureau de Nairobi de service d’instrument de politique extérieur est à Bangui dans le cadre de ce projet qui prendra fin à l’automne 2023.
L’Ambassadeur, Chef de la Délégation de l’Union Européenne, Douglas Carpenter a souligné que cette action vise à contribuer à la réduction des tensions inter et intra-communautaires à travers des programmes d’information vérifiés, indépendants et adaptés aux contextes locaux.
« Cette mission est également destinée à améliorer la compréhension des citoyens centrafricains des enjeux et du processus électoral local, grâce à des programmes d’informations vérifiées, indépendantes et adaptées aux contextes de chaque région », a-t-il poursuivi.
Le Chef de la Délégation de l’Union Européenne a précisé que le projet couvre le domaine de la lutte contre la désinformation, la problématique de la transhumance, de la médiation et du dialogue social.
« Il est important de mettre en contexte ce soutien multidimensionnel, sur le côté humanitaire, y compris dans le contexte du développement d’instrument, en vue d’aborder la crise qui est actuellement en cours notamment, l’inflation, la sécurité alimentaire et autre », a relevé Douglas Carpenter.
En ce qui concerne la transition verte, les secteurs sociaux et surtout la santé et la gouvernance avec les grandes réformes dans le pays, l’Ambassadeur, Chef de la Délégation de l’Union Européenne a relevé que l’UE se prépare pour le lancement d’un programme concernant ses différents aspects.
Il a par ailleurs précisé qu’il prend au sérieux la mobilisation des ressources pour l’Accord pour la Paix et la Réconciliation et le Plan de Résilience de Reconstruction de la Centrafrique RCPCA-RCA.
« La feuille de route de Luanda, qui est un vecteur majeur pour les procédures de paix en Centrafrique avec quelques pliés et un engagement de la sous-région pour le suivi des engagements des leaders des groupes armés, la déclaration du cessez-le- feu, le DDRR, les reformes du secteur de sécurité, les stratégies de contrôle des frontières et le processus politique qui comprend les recommandations du Dialogue républicain et le rétablissement de l’autorité de l’Etat, sont les points importants que visent les actions de l’UE », a-t-il fait savoir.
Il faut rappeler que la mission du bureau de Nairobi de service d’instrument de politique extérieur est à Bangui dans le cadre de ce projet qui prendra fin à l’automne 2023.
