L'objectif de cette session, selon le Président Taïnga Poloko est à la fois d'outiller les conseillers économiques par la formation et de réfléchir et proposer une nouvelle manière de gouverner le pays.
Dans un long exposé, M. Taïnga Poloko a mis un accent particulier sur la disponibilité des membres du bureau du Conseil, la respectabilité des conseillers, à travers leurs moyens de travail dont un siège à trouver.
Malgré les difficultés, en dix mois, a indiqué M. Taïnga Poloko, des efforts ont été réalisés et que des résultats ont été obtenus, avec le concours de tous les conseillers. Il a cité, entre autres, la reconnaissance du Conseil économique et social de la République dans certaines instances internationales.
Ce sont : l'Association internationale des conseils économiques et sociaux et institutions similaires (AICESIS), l'Union des conseils économiques et sociaux francophones (UCESF) et l'Union des conseils économiques et sociaux d'Afrique (UCESA).
S’attendant à des réformes courageuses pour le développement de la République Centrafricaine, M. Taïnga Poloko a planifié un panel de communications, censées édifier les conseillers nationaux.
Les thèmes inscrits à l’ordre du jour concernent le budget de l’Etat, le plan de relèvement de la RCA (RCPCA), le fonds de l'Union Européenne dénommé "Békou", l’importance de la langue Sango, la couverture nationale en ondes radio et télévision, la mise à profit du marché de la Communauté économique et monétaire de l'Afrique Centrale (CEMAC).
Parmi les modérateurs figurent les visiteurs du Conseil économique et social que sont le président du CES du Bénin, Tabé Gbian, et le représentant de celui du Royaume du Maroc, Tarik Aguizoul. Il faut ajouter à ces éminentes personnalités certains dignitaires comme l'ancien Premier-ministre Anicet-Georges Dologuélé, l'ancienne Cheffe de l'Etat de transition Catherine Samba-Panza et l'actuel ministre des finances et du Budget Marie-Henri Dondra.
Ouverte le 1er février dernier, la session du Conseil économique et social prendra fin le 15 mars prochain.
Dans un long exposé, M. Taïnga Poloko a mis un accent particulier sur la disponibilité des membres du bureau du Conseil, la respectabilité des conseillers, à travers leurs moyens de travail dont un siège à trouver.
Malgré les difficultés, en dix mois, a indiqué M. Taïnga Poloko, des efforts ont été réalisés et que des résultats ont été obtenus, avec le concours de tous les conseillers. Il a cité, entre autres, la reconnaissance du Conseil économique et social de la République dans certaines instances internationales.
Ce sont : l'Association internationale des conseils économiques et sociaux et institutions similaires (AICESIS), l'Union des conseils économiques et sociaux francophones (UCESF) et l'Union des conseils économiques et sociaux d'Afrique (UCESA).
S’attendant à des réformes courageuses pour le développement de la République Centrafricaine, M. Taïnga Poloko a planifié un panel de communications, censées édifier les conseillers nationaux.
Les thèmes inscrits à l’ordre du jour concernent le budget de l’Etat, le plan de relèvement de la RCA (RCPCA), le fonds de l'Union Européenne dénommé "Békou", l’importance de la langue Sango, la couverture nationale en ondes radio et télévision, la mise à profit du marché de la Communauté économique et monétaire de l'Afrique Centrale (CEMAC).
Parmi les modérateurs figurent les visiteurs du Conseil économique et social que sont le président du CES du Bénin, Tabé Gbian, et le représentant de celui du Royaume du Maroc, Tarik Aguizoul. Il faut ajouter à ces éminentes personnalités certains dignitaires comme l'ancien Premier-ministre Anicet-Georges Dologuélé, l'ancienne Cheffe de l'Etat de transition Catherine Samba-Panza et l'actuel ministre des finances et du Budget Marie-Henri Dondra.
Ouverte le 1er février dernier, la session du Conseil économique et social prendra fin le 15 mars prochain.