POLITIQUE
Photo de famille après la cérémonie d'ouverture, Phot-Acap/Gbagbo
L’objet de ce séminaire est de sensibiliser les membres du directoire de l’Omca et du Hcc, ainsi que les responsables des médias publics et privés, sur la mission de l’Observatoire en vue de faire comprendre à tous, la mission précise de chaque organe d’autorégulation ou de régulation, en vue de l’épanouissement des média centrafricains.
« L’observatoire des médias centrafricains a pour mission de veiller sur l’application des statut et textes juridiques, de conseiller les journalistes à respecter le code déontologique, afin de crédibiliser leur métier », a fait remarquer le président de l’Omca, M. Jean Pierre Débato.
Il a par ailleurs déploré le manque de moyens matériels qui empêche son institution de faire correctement son travail et a interpéllé le gouvernement sur la mise en œuvre des recommandations des premiers Etats généraux des médias centrafricains tenus à Bangui en septembre, 2007.
Pour le ministre de la Communication Cyriaque Gonda, ce séminaire devrait permettre aux participants « de cerner les spécificités du rôle de régulateur et d’autorégulateur dans les travaux de suivi des contenus des médias » en vue de contribuer « au professionnalisme des médias par le biais des pratiques réguliers de monitoring ».
Il a souligné le fait que la presse de l’Afrique francophone en général et celle de la République Centrafricaine en particulier, s’est souvent retrouvée devant les tribunaux, alors qu’il existe des organes internes susceptibles de gérer certains contentieux par la médiation.
La Chargée d’antenne de l’Unesco, Mme Hélène Cron a pour sa part réaffirmé la disponibilité de son institution à l’Omca en vue de le rendre opérationnel, « afin que son rôle soit mieux défini, connu à l’intérieur de la profession qu’a l’extérieur ».
Il convient de signaler que cette formation est financée par l’Unesco et devrait pendre fin le 12 novembre prochain.
« L’observatoire des médias centrafricains a pour mission de veiller sur l’application des statut et textes juridiques, de conseiller les journalistes à respecter le code déontologique, afin de crédibiliser leur métier », a fait remarquer le président de l’Omca, M. Jean Pierre Débato.
Il a par ailleurs déploré le manque de moyens matériels qui empêche son institution de faire correctement son travail et a interpéllé le gouvernement sur la mise en œuvre des recommandations des premiers Etats généraux des médias centrafricains tenus à Bangui en septembre, 2007.
Pour le ministre de la Communication Cyriaque Gonda, ce séminaire devrait permettre aux participants « de cerner les spécificités du rôle de régulateur et d’autorégulateur dans les travaux de suivi des contenus des médias » en vue de contribuer « au professionnalisme des médias par le biais des pratiques réguliers de monitoring ».
Il a souligné le fait que la presse de l’Afrique francophone en général et celle de la République Centrafricaine en particulier, s’est souvent retrouvée devant les tribunaux, alors qu’il existe des organes internes susceptibles de gérer certains contentieux par la médiation.
La Chargée d’antenne de l’Unesco, Mme Hélène Cron a pour sa part réaffirmé la disponibilité de son institution à l’Omca en vue de le rendre opérationnel, « afin que son rôle soit mieux défini, connu à l’intérieur de la profession qu’a l’extérieur ».
Il convient de signaler que cette formation est financée par l’Unesco et devrait pendre fin le 12 novembre prochain.
