POLITIQUE
Cet atelier vise à restituer les actes du forum qui s'est déroulé en 2017 à New-York, aux Etats-Unis d’Amérique et à Addis-Abeba, en Ethiopie, à vulgariser la vision commune africaine pour la promotion de la femme et du développement du leadership en faveur de la transformation de l’Afrique, et de partager les informations sur les objectifs du réseau des femmes leaders africaines en vue d’une appropriation au niveau national.
La ministre Aline Gisèle Pana a soutenu que la mise en place du réseau national des femmes africaines pour la transformation de l’Afrique est un moyen d’éduquer toutes les femmes dans la prise des décisions et la lutte contre la discrimination à tous les niveaux.
« C’est aussi l’opportunité donnée aux femmes leaders centrafricaines d’aider leurs concitoyennes tant en milieu urbain qu’en milieu rural à se mobiliser pour participer au processus du développement de notre pays la République Centrafricaine », a déclaré le membre du gouvernement.
Elle a, par ailleurs, réitéré l’engagement du gouvernement à soutenir des actions des femmes leaders centrafricaines en réseau.
Le Représentant spécial du Secrétaire général des Nations-Unies, Parfait Onanga-Anyanga, a indiqué que "la rencontre d’aujourd’hui est un bon pas dans la bonne direction car les travaux issus de cet atelier de restitution seront suivis du lancement de ce réseau national des femmes centrafricaines pour la paix".
"La Mission multidimensionnelle Intégrée des Nations Unies pour la Stabilisation en République Centrafricaine (MINUSCA) reste disponible à soutenir le plan d’action du réseau dans la mise en œuvre et dans la promotion de la consolidation de la paix en République Centrafricaine", a souligné Parfait Onanga-Anyanga.
Le responsable onusien a fait savoir que ce forum offre un outil idéal pour atteindre le noble objectif qui est celui de renforcer le rôle et la voix des femmes dans la transformation de l’Afrique.
Il convient de signaler que cet atelier de restitution organisé par l’Entité des Nations-Unies pour l’Egalité des Sexes et l’Autonomisation des Femmes (ONUFEMMES) a mobilisé plus de 200 femmes leaders centrafricaines.
La ministre Aline Gisèle Pana a soutenu que la mise en place du réseau national des femmes africaines pour la transformation de l’Afrique est un moyen d’éduquer toutes les femmes dans la prise des décisions et la lutte contre la discrimination à tous les niveaux.
« C’est aussi l’opportunité donnée aux femmes leaders centrafricaines d’aider leurs concitoyennes tant en milieu urbain qu’en milieu rural à se mobiliser pour participer au processus du développement de notre pays la République Centrafricaine », a déclaré le membre du gouvernement.
Elle a, par ailleurs, réitéré l’engagement du gouvernement à soutenir des actions des femmes leaders centrafricaines en réseau.
Le Représentant spécial du Secrétaire général des Nations-Unies, Parfait Onanga-Anyanga, a indiqué que "la rencontre d’aujourd’hui est un bon pas dans la bonne direction car les travaux issus de cet atelier de restitution seront suivis du lancement de ce réseau national des femmes centrafricaines pour la paix".
"La Mission multidimensionnelle Intégrée des Nations Unies pour la Stabilisation en République Centrafricaine (MINUSCA) reste disponible à soutenir le plan d’action du réseau dans la mise en œuvre et dans la promotion de la consolidation de la paix en République Centrafricaine", a souligné Parfait Onanga-Anyanga.
Le responsable onusien a fait savoir que ce forum offre un outil idéal pour atteindre le noble objectif qui est celui de renforcer le rôle et la voix des femmes dans la transformation de l’Afrique.
Il convient de signaler que cet atelier de restitution organisé par l’Entité des Nations-Unies pour l’Egalité des Sexes et l’Autonomisation des Femmes (ONUFEMMES) a mobilisé plus de 200 femmes leaders centrafricaines.
