POLITIQUE
La date du 11 août, date de l’accession de la République du Tchad à la souveraineté internationale, est célébrée tous les ans par des manifestations officielles, comme celle qui marque la 53ème occasion cette année.
La Ministre des Affaires étrangères a saisi l’opportunité qui lui a été offerte pour vanter « les liens d’amitié et de fraternité qui unissent le Tchad et la République Centrafricaine datent de la période qui précède les indépendances » et s’est renforcé des dernières années par une « abondance des accords révisés ou signés, une dizaine au total, dont l’accord de coopération dans le domaine des petites et moyennes entreprises, les petites et moyennes industries (PME/PMI) ; l’accord en matière de mouvement de bétail ; l’accord d’assistance mutuelle en matière de douane et l’accord commercial ».
Tout comme la République Centrafricaine, le Tchad avait connu des années de guerre. Aujourd’hui, sous l’impulsion du Chef de l’Etat, Idriss Déby Itno, le Tchad s’achemine vers la voie de l’autosuffisance énergétique et alimentaire, avec la mécanisation de la production agricole. Une autre étape vient d’être projetée : celle de rendre le pays émergent ici l’horizon 2025.
De façon pratique, aux fins d’atteindre le bien-être social, un accent particulier est mis sur la paix, la stabilité, la crédibilité sur la scène internationale, l’accès aux ressources du sous-sol, le développement des secteurs vitaux, la valorisation des ressources humaines, le réveil d’une jeunesse penchée dans l’entreprenariat, le dynamisme des opérateurs économiques, engagé sur la voie de la création d’industries manufacturables dans un pays enclavé et plein d’ambition pour son développement économique et social.
Cette démarcation au Tchad a fait faire penser à Mme Banga-Bothy née Mbazoa Léonie que « les crises politico-militaires qu’a connues la République Centrafricaine ces dernières décennies ne seront pas une fatalité pour ce pays qui peut faire de l’expérience tchadienne une source d’inspiration.
Cette vision se traduit, selon le membre du gouvernement, par la quête, avec le concours de la communauté internationale, de la sécurité et la paix sur l’ensemble du territoire, la mise en place progressive des organes de la transition.
Quant à l’Ambassadeur du Tchad en République Centrafricaine, M. Mahamat Béchir Shérif, il croit que « tous les conflits au monde finissent toujours par le dialogue et la réconciliation des belligérants ». Pour lui donc, la crise que traverse actuellement la République Centrafricaine peut être surmontée. C’est pourquoi, il a conseillé aux uns et aux autres de placer « leur confiance et leur espoir dans la transition, comme l’entendent la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC), l’Union africaine et la communauté internationale ».
Il a promis que son pays « le Tchad, bilatéralement et multilatéralement, accompagnera toujours la République Centrafricaine dans la recherche de la paix, la stabilité et le bonheur du peuple », surtout qu’au début de la crise en Centrafrique, « le Tchad a été le tout premier à déployer un contingent militaire en faveur de la FOMAC ».
M. Mahamat Béchir Shérif a sommé ses compatriotes à se conformer aux « lois et règlement de la terre d’accueil pour être mieux traités », en dépit de ce que, ces douze derniers mois leur ont été « particulièrement durs, tant pour leur sécurité physique que pour leurs activités respectives ».
L’Ambassadeur du Tchad a clamé que cette situation « n’entame en rien la volonté du Président de la République du Tchad et de celui de la République Centrafricaine de renforcer les relations séculaires et fraternelles entre les deux pays dans l’intérêt commun des deux peuples ».
La Ministre des Affaires étrangères a saisi l’opportunité qui lui a été offerte pour vanter « les liens d’amitié et de fraternité qui unissent le Tchad et la République Centrafricaine datent de la période qui précède les indépendances » et s’est renforcé des dernières années par une « abondance des accords révisés ou signés, une dizaine au total, dont l’accord de coopération dans le domaine des petites et moyennes entreprises, les petites et moyennes industries (PME/PMI) ; l’accord en matière de mouvement de bétail ; l’accord d’assistance mutuelle en matière de douane et l’accord commercial ».
Tout comme la République Centrafricaine, le Tchad avait connu des années de guerre. Aujourd’hui, sous l’impulsion du Chef de l’Etat, Idriss Déby Itno, le Tchad s’achemine vers la voie de l’autosuffisance énergétique et alimentaire, avec la mécanisation de la production agricole. Une autre étape vient d’être projetée : celle de rendre le pays émergent ici l’horizon 2025.
De façon pratique, aux fins d’atteindre le bien-être social, un accent particulier est mis sur la paix, la stabilité, la crédibilité sur la scène internationale, l’accès aux ressources du sous-sol, le développement des secteurs vitaux, la valorisation des ressources humaines, le réveil d’une jeunesse penchée dans l’entreprenariat, le dynamisme des opérateurs économiques, engagé sur la voie de la création d’industries manufacturables dans un pays enclavé et plein d’ambition pour son développement économique et social.
Cette démarcation au Tchad a fait faire penser à Mme Banga-Bothy née Mbazoa Léonie que « les crises politico-militaires qu’a connues la République Centrafricaine ces dernières décennies ne seront pas une fatalité pour ce pays qui peut faire de l’expérience tchadienne une source d’inspiration.
Cette vision se traduit, selon le membre du gouvernement, par la quête, avec le concours de la communauté internationale, de la sécurité et la paix sur l’ensemble du territoire, la mise en place progressive des organes de la transition.
Quant à l’Ambassadeur du Tchad en République Centrafricaine, M. Mahamat Béchir Shérif, il croit que « tous les conflits au monde finissent toujours par le dialogue et la réconciliation des belligérants ». Pour lui donc, la crise que traverse actuellement la République Centrafricaine peut être surmontée. C’est pourquoi, il a conseillé aux uns et aux autres de placer « leur confiance et leur espoir dans la transition, comme l’entendent la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC), l’Union africaine et la communauté internationale ».
Il a promis que son pays « le Tchad, bilatéralement et multilatéralement, accompagnera toujours la République Centrafricaine dans la recherche de la paix, la stabilité et le bonheur du peuple », surtout qu’au début de la crise en Centrafrique, « le Tchad a été le tout premier à déployer un contingent militaire en faveur de la FOMAC ».
M. Mahamat Béchir Shérif a sommé ses compatriotes à se conformer aux « lois et règlement de la terre d’accueil pour être mieux traités », en dépit de ce que, ces douze derniers mois leur ont été « particulièrement durs, tant pour leur sécurité physique que pour leurs activités respectives ».
L’Ambassadeur du Tchad a clamé que cette situation « n’entame en rien la volonté du Président de la République du Tchad et de celui de la République Centrafricaine de renforcer les relations séculaires et fraternelles entre les deux pays dans l’intérêt commun des deux peuples ».
