POLITIQUE
Cette rencontre avec les représentants des quartiers Castors, Yakité, Sara dans le 3ème Arrondissement de Bangui et Basse-Kotto dans le 5ème Arrondissements de Bangui avait pour but de faire table-rase des problèmes récurrents de sécurité et d’électricité auxquels les habitants desdits quartiers sont confrontés depuis le 24 mars 2013, date de l’accession au pouvoir par un coup d’Etat de Michel Djotodia Am Nondroko.
Les représentants des quartiers Castors, Yakité, Sara et Basse-Kotto ont déploré les actes quotidiens de braquage à mains armées dans leur secteur. Ces actes de braquage a permis aux auteurs de dépouiller les victimes de vêtements, bijoux, appareils téléphoniques, électroménagers et surtout des motos. Le rubicond a été franchi lorsqu’une étudiante a trouvé la mort à la suite d’un largage d’une grenade par des assaillants, pris en flagrant délit.
Les représentants des habitants des quartiers ont estimé que la lumière est un premier facteur de sécurité. Malheureusement, ce secteur est privé d’électricité les nuits. Ce qui donne l’opportunité aux malfaiteurs d’opérer dans les pénombres, sans s’inquiéter.
Pour exprimer leur désapprobation vis-à-vis de ces actes criminels, les populations des quartiers précités ont organisé une marche pacifique dans leurs ruelles le 22 octobre dernier, avec en toile de le rétablissement de l’électricité dans le secteur et l’institution pérennes des patrouilles nocturnes mixtes de policiers et de gendarmes. Seulement, ces revendications sont restées sans suite.
Des voies ont été scrutées pour la sécurisation des quartiers Castors, Yakité, Sara et Basse-Kotto. Le Chef de l’Etat de la Transition a envisagé la révision du délestage dans ce secteur, pour fournir l’électricité à la population la nuit, la relance des patrouilles mixtes mais et surtout la mise en place des Comité locaux d’autodéfense devant impliquer directement les jeunes.
Les représentants des quartiers Castors, Yakité, Sara et Basse-Kotto ont déploré les actes quotidiens de braquage à mains armées dans leur secteur. Ces actes de braquage a permis aux auteurs de dépouiller les victimes de vêtements, bijoux, appareils téléphoniques, électroménagers et surtout des motos. Le rubicond a été franchi lorsqu’une étudiante a trouvé la mort à la suite d’un largage d’une grenade par des assaillants, pris en flagrant délit.
Les représentants des habitants des quartiers ont estimé que la lumière est un premier facteur de sécurité. Malheureusement, ce secteur est privé d’électricité les nuits. Ce qui donne l’opportunité aux malfaiteurs d’opérer dans les pénombres, sans s’inquiéter.
Pour exprimer leur désapprobation vis-à-vis de ces actes criminels, les populations des quartiers précités ont organisé une marche pacifique dans leurs ruelles le 22 octobre dernier, avec en toile de le rétablissement de l’électricité dans le secteur et l’institution pérennes des patrouilles nocturnes mixtes de policiers et de gendarmes. Seulement, ces revendications sont restées sans suite.
Des voies ont été scrutées pour la sécurisation des quartiers Castors, Yakité, Sara et Basse-Kotto. Le Chef de l’Etat de la Transition a envisagé la révision du délestage dans ce secteur, pour fournir l’électricité à la population la nuit, la relance des patrouilles mixtes mais et surtout la mise en place des Comité locaux d’autodéfense devant impliquer directement les jeunes.
