POLITIQUE
L’objectif de cette rencontre est de justifier que devant les professionnels des médias que les causes de l’insécurité, les rivalités ethniques, l’exploitation des souffrances du peuple par les leaders politiques aux fins de s’enrichir ne remontent pas seulement du 24 mars dernier, date du renversement du régime de Bozizé par la coalition Séléka.
Michel Djotodia a profité de l’occasion pour exprimer un regret en ce sens qu’avec ces afflictions, « personne n’a jamais rien tenté pour résoudre les causes réelles d’un cancer qui ronge le pays », d’où « un cercle infernal depuis des générations ». Et « ce n’est pas au bout de quelques mois que ces maux seront réglés », a-t-il renchéri.
D’après les analyses de Chef de l’Etat, « l’insécurité et l’instabilité participent à l’affaiblissement de la population et augmentent encore plus sa misère et ses souffrances ».
Profitant de la circonstance, Michel Djotodia Am Nondroko a fait asseoir « le dialogue entre la Présidence de la République, le gouvernement, les autorités ethniques et les chefs traditionnels pour aboutir à un consensus national, mettre en place le plan national de désarmement, de sécurité et préparer les futures élections ».
Michel Djotodia Am Nondroko entend également mettre en œuvre un programme contenant cinq objectifs, à savoir : le rétablissement de l’Etat de et de la sécurité ; le développement de toutes les régions en donnant place d’honneur aux autorités ethniques ; empêcher la discrimination des personnes sur la base de leur origine ethnique, religieuses ou appartenance politique ; envisager la reconstruction économique et sociale du pays par le rétablissement de recettes douanières ; enfin, œuvrer pour le rétablissement de la confiance avec les pays voisins aux fins de stabiliser la région.
L’originalité dans l’intervention du discours de Michel Djotodia Am Nondroko a concerné les chefs traditionnels, lesquels devront s’appuyer sur leurs « connaissances du terrain et leur proximité avec la population pour créer un climat de confiance, rassurer le villageois et accélérer le rétablissement de l’Etat, même dans les endroits les plus reculés » dans le cadre du désarmement.
Aussi, il a misé sur « la mise en route des tribunaux et du système judicaire, même en dehors de Bangui, dans le cadre du rétablissement de l’Etat.
Enfin, Michel Djotodia Am Nondroko a présagé « la préparation des élections futures et le grand travail de mise à niveau de l’état-civil et des archives nationales pour lesquels toute aide logistique des partenaires internationaux serait fortement appréciée ».
Michel Djotodia a profité de l’occasion pour exprimer un regret en ce sens qu’avec ces afflictions, « personne n’a jamais rien tenté pour résoudre les causes réelles d’un cancer qui ronge le pays », d’où « un cercle infernal depuis des générations ». Et « ce n’est pas au bout de quelques mois que ces maux seront réglés », a-t-il renchéri.
D’après les analyses de Chef de l’Etat, « l’insécurité et l’instabilité participent à l’affaiblissement de la population et augmentent encore plus sa misère et ses souffrances ».
Profitant de la circonstance, Michel Djotodia Am Nondroko a fait asseoir « le dialogue entre la Présidence de la République, le gouvernement, les autorités ethniques et les chefs traditionnels pour aboutir à un consensus national, mettre en place le plan national de désarmement, de sécurité et préparer les futures élections ».
Michel Djotodia Am Nondroko entend également mettre en œuvre un programme contenant cinq objectifs, à savoir : le rétablissement de l’Etat de et de la sécurité ; le développement de toutes les régions en donnant place d’honneur aux autorités ethniques ; empêcher la discrimination des personnes sur la base de leur origine ethnique, religieuses ou appartenance politique ; envisager la reconstruction économique et sociale du pays par le rétablissement de recettes douanières ; enfin, œuvrer pour le rétablissement de la confiance avec les pays voisins aux fins de stabiliser la région.
L’originalité dans l’intervention du discours de Michel Djotodia Am Nondroko a concerné les chefs traditionnels, lesquels devront s’appuyer sur leurs « connaissances du terrain et leur proximité avec la population pour créer un climat de confiance, rassurer le villageois et accélérer le rétablissement de l’Etat, même dans les endroits les plus reculés » dans le cadre du désarmement.
Aussi, il a misé sur « la mise en route des tribunaux et du système judicaire, même en dehors de Bangui, dans le cadre du rétablissement de l’Etat.
Enfin, Michel Djotodia Am Nondroko a présagé « la préparation des élections futures et le grand travail de mise à niveau de l’état-civil et des archives nationales pour lesquels toute aide logistique des partenaires internationaux serait fortement appréciée ».
