POLITIQUE
Le Président de la République, a remercié à cette occasion, les piroguiers et les conducteurs de taxi-motos qui n’ont pas hésité, en ce moment difficile, de venir au secours de ces victimes, et tous ceux qui ont participé à sauver la vie des blessés et des rescapés du naufrage.
« Nous avons aussi vécu une geste de la part de la communauté internationale et des chefs d’Etat, qui ont manifesté leurs solidarités en nous adressant des messages de compassion », a-t-il poursuivi, sans oublier le comité d’organisation et la plateforme religieuse, qui ont permis que ce moment de recueillement puisse avoir lieu.
Le ministre de l’Administration du Territoire, de la Décentralisation et du Développement, Bruno Yapandé, a fait savoir que face à cette catastrophe sans précédente en République Centrafricaine, le Président de la République, a ordonné au gouvernement de prendre un certain nombre de mesure.
« Les actions instruisent par le chef de l’Etat, en conduit à la mise sur pied en date du 26 avril dernier par le ministre en charge de Transport et de l’Aviation civile, d’un comité mixte d’inspection des baleinières et mini-embarcations en Centrafrique et dans la même peine, le conseil des ministres, en sa session du 2 mai a autorisé l’organisation de ce culte œcuménique », a souligné le membre du gouvernement.
Selon le ministre Bruno Yapandé, cette catastrophe injecte sur la responsabilité de tous les Centrafricains sur la protection de la vie humaine. Pour ce faire, il est nécessaire que des séances de sensibilisation soient organisées à l’endroit des propriétaires des embarcations, et leurs usagers, sur les dangers liés aux mauvais entretiens de ces engins et la surcharge des passagers sur les dites embarcations.
Il a indiqué qu’à cet égard, le gouvernement n’aménagera aucun effort afin que des dispositions fluviales soient prises pour que, des contrôles permanents de ces embarcations soient faits avant leurs mises en circulation.
Le membre du gouvernement a profité pour lancer un appel à ceux qui détiennent des mini-baleinières dans le pays « plus jamais, plus jamais ça », car la vie d’un Centrafricain compte énormément pour le développement de la 7ème République
Le Secrétaire général de la Conférence Episcopale de Centrafrique, l’Abbé Eric Kogbo-Basinga a pour sa part, salué l’initiative du gouvernement pour cette liturgie qui a joué une catharsis pour aider le peuple centrafricain tout entier.
Rappelons que ce naufrage du 19 avril 2024, suite à un voyage de deuil, a provoqué la mort de 60 personnes dont seulement 26 ont été identifiées, à savoir 15 adultes et 11 enfants. Les restes ont été retrouvés en état de décomposition. Pour cela, trois jours de deuil ont été décrété sur toute l’étendue du territoire centrafricain du 22, 23 et 24 avril dernier.
« Nous avons aussi vécu une geste de la part de la communauté internationale et des chefs d’Etat, qui ont manifesté leurs solidarités en nous adressant des messages de compassion », a-t-il poursuivi, sans oublier le comité d’organisation et la plateforme religieuse, qui ont permis que ce moment de recueillement puisse avoir lieu.
Le ministre de l’Administration du Territoire, de la Décentralisation et du Développement, Bruno Yapandé, a fait savoir que face à cette catastrophe sans précédente en République Centrafricaine, le Président de la République, a ordonné au gouvernement de prendre un certain nombre de mesure.
« Les actions instruisent par le chef de l’Etat, en conduit à la mise sur pied en date du 26 avril dernier par le ministre en charge de Transport et de l’Aviation civile, d’un comité mixte d’inspection des baleinières et mini-embarcations en Centrafrique et dans la même peine, le conseil des ministres, en sa session du 2 mai a autorisé l’organisation de ce culte œcuménique », a souligné le membre du gouvernement.
Selon le ministre Bruno Yapandé, cette catastrophe injecte sur la responsabilité de tous les Centrafricains sur la protection de la vie humaine. Pour ce faire, il est nécessaire que des séances de sensibilisation soient organisées à l’endroit des propriétaires des embarcations, et leurs usagers, sur les dangers liés aux mauvais entretiens de ces engins et la surcharge des passagers sur les dites embarcations.
Il a indiqué qu’à cet égard, le gouvernement n’aménagera aucun effort afin que des dispositions fluviales soient prises pour que, des contrôles permanents de ces embarcations soient faits avant leurs mises en circulation.
Le membre du gouvernement a profité pour lancer un appel à ceux qui détiennent des mini-baleinières dans le pays « plus jamais, plus jamais ça », car la vie d’un Centrafricain compte énormément pour le développement de la 7ème République
Le Secrétaire général de la Conférence Episcopale de Centrafrique, l’Abbé Eric Kogbo-Basinga a pour sa part, salué l’initiative du gouvernement pour cette liturgie qui a joué une catharsis pour aider le peuple centrafricain tout entier.
Rappelons que ce naufrage du 19 avril 2024, suite à un voyage de deuil, a provoqué la mort de 60 personnes dont seulement 26 ont été identifiées, à savoir 15 adultes et 11 enfants. Les restes ont été retrouvés en état de décomposition. Pour cela, trois jours de deuil ont été décrété sur toute l’étendue du territoire centrafricain du 22, 23 et 24 avril dernier.
