POLITIQUE
SUITE AUX HOSTILITES DECLENCHEES DEPUIS LE 10 DECEMBRE 2012 PAR LES GROUPES REBELLES ET LA COALITION SELEKA, FORCE EST DE CONSTATER QU’UNE FOIS DE PLUS LES FEMMES ET LES FILLES PAYENT UN LOURD TRIBU DE CETTE CRISE.
LA SYSTEMATISATION ET LA GENERALISATION DES VIOLENCES ET VIOLS PERPETRES SUR LES FEMMES ET LES FILLES PAR LES PARTIES EN CONFLITS MALGRE LES MULTIPLES CONDAMNATIONS PROUVENT A SUFFISANCE LE NON RESPECT DES DROITS DE L’HOMME ET DROITS HUMANITAIRES ;
A TITRE DE RAPPEL, LA RCA FAIT PARTIE DES ETATS QUI ONT RATIFIE LES INSTRUMENTS JURIDIQUES INTERNATIONAUX DE PROTECTION DES CIVILS LORS DES CONFLITS ARMES, IL EST DONC DE LA RESPONSABILITE DES PARTIES EN CONFLITS DE RESPECTER ET DE GARANTIR LES DROITS DE L’HOMME ET LES DROITS HUMANITAIRES.
FORT DE CE QUI PRECEDE, LES PARTIES EN CONFLITS DOIVENT SE CONFORMER AU STRICTE RESPECT DES DISPOSITIONS DES RESOLUTIONS 1820, 1888, 1889 DU CONSEIL DE SECURITE DES NATIONS UNIES.
AINSI, LE GROUPE DES ONG QUI OEUVRENT POUR LA LUTTE CONTRE LA VIOLENCE SEXUELLE DANS LES CONFLITS ET LA PROMOTION DE LA PAIX, CONDAMNE FERMEMENT LES ACTES DE VIOLENCE ET VIOLS PERPETRES CONTRE LES FEMMES ET LES FILLES DANS LES LOCALITES DE LA NANA GRIBIZI, LA OUAKA ET LA KEMO ET DANS D’AUTRES ZONES.
RAPPELLE AUX BELIGERANTS QUE, SEULES LES ELECTIONS DEMOCRATIQUES SONT L’UNIQUE MOYEN POUR ACCEDER AU POUVOIR.
LES DISPOSITIONS STRATEGIQUES DE LA RESOLUTION 1820 ET LE STATUT DE ROME STIPULENT QUE : « LE VIOL ET D’AUTRES FORMES DE VIOLENCES SEXUELLES PEUVENT CONSTITUER UN CRIME DE GUERRE CRIME CONTRE L’HUMANITE OU UN ELEMENT CONSTITUTIF DU GENOCIDE ».
DEMANDE AUX PARTIES EN CONFLIT DE METTRE IMMEDIATEMENT ET TOTALEMENT FIN AUX ACTES DE VIOLENCES SEXUELLES ET VIOLS CONTRE LES FEMMES ET LES FILLES DANS LES ZONES OCCUPEES.
ENCOURAGE LES NATIONS UNIES, L’UNION AFRICAINE, LA CEEAC ET LES AUTRES PARTENAIRES ET AMIS DE LA RCA A CONTINUER LEURS SOUTIENS POUR UNE SOLUTION NEGOCIEE A LA CRISE.
ENFIN, APPORTE SON SOUTIEN A TOUTES LES ACTIONS DE MEDIATION ET INSISTE POUR UNE RESOLUTION PACIFIQUE DE CRISE PAR LE DIALOGUE POUR UNE PAIX DURABLE EN CENTRAFRIQUE.
LA SYSTEMATISATION ET LA GENERALISATION DES VIOLENCES ET VIOLS PERPETRES SUR LES FEMMES ET LES FILLES PAR LES PARTIES EN CONFLITS MALGRE LES MULTIPLES CONDAMNATIONS PROUVENT A SUFFISANCE LE NON RESPECT DES DROITS DE L’HOMME ET DROITS HUMANITAIRES ;
A TITRE DE RAPPEL, LA RCA FAIT PARTIE DES ETATS QUI ONT RATIFIE LES INSTRUMENTS JURIDIQUES INTERNATIONAUX DE PROTECTION DES CIVILS LORS DES CONFLITS ARMES, IL EST DONC DE LA RESPONSABILITE DES PARTIES EN CONFLITS DE RESPECTER ET DE GARANTIR LES DROITS DE L’HOMME ET LES DROITS HUMANITAIRES.
FORT DE CE QUI PRECEDE, LES PARTIES EN CONFLITS DOIVENT SE CONFORMER AU STRICTE RESPECT DES DISPOSITIONS DES RESOLUTIONS 1820, 1888, 1889 DU CONSEIL DE SECURITE DES NATIONS UNIES.
AINSI, LE GROUPE DES ONG QUI OEUVRENT POUR LA LUTTE CONTRE LA VIOLENCE SEXUELLE DANS LES CONFLITS ET LA PROMOTION DE LA PAIX, CONDAMNE FERMEMENT LES ACTES DE VIOLENCE ET VIOLS PERPETRES CONTRE LES FEMMES ET LES FILLES DANS LES LOCALITES DE LA NANA GRIBIZI, LA OUAKA ET LA KEMO ET DANS D’AUTRES ZONES.
RAPPELLE AUX BELIGERANTS QUE, SEULES LES ELECTIONS DEMOCRATIQUES SONT L’UNIQUE MOYEN POUR ACCEDER AU POUVOIR.
LES DISPOSITIONS STRATEGIQUES DE LA RESOLUTION 1820 ET LE STATUT DE ROME STIPULENT QUE : « LE VIOL ET D’AUTRES FORMES DE VIOLENCES SEXUELLES PEUVENT CONSTITUER UN CRIME DE GUERRE CRIME CONTRE L’HUMANITE OU UN ELEMENT CONSTITUTIF DU GENOCIDE ».
DEMANDE AUX PARTIES EN CONFLIT DE METTRE IMMEDIATEMENT ET TOTALEMENT FIN AUX ACTES DE VIOLENCES SEXUELLES ET VIOLS CONTRE LES FEMMES ET LES FILLES DANS LES ZONES OCCUPEES.
ENCOURAGE LES NATIONS UNIES, L’UNION AFRICAINE, LA CEEAC ET LES AUTRES PARTENAIRES ET AMIS DE LA RCA A CONTINUER LEURS SOUTIENS POUR UNE SOLUTION NEGOCIEE A LA CRISE.
ENFIN, APPORTE SON SOUTIEN A TOUTES LES ACTIONS DE MEDIATION ET INSISTE POUR UNE RESOLUTION PACIFIQUE DE CRISE PAR LE DIALOGUE POUR UNE PAIX DURABLE EN CENTRAFRIQUE.
