contre de jeudi a été organisée par le Fonds des Nations-Unies pour la Population (UNFPA). Elle visait d’une part à présenter à la population centrafricaine, à travers ses élus, les avancées enregistrées dans la lutte contre le VIH/sida et d’autres parts à sensibiliser les parlementaires sur l’évolution de l’épidémie afin de renforcer leur engagement dans la promotion de la prévention du sida.
Pour le représentant de l’UNFPA, Eliwo Akoto, l’aide au gouvernement centrafricain de la part de son institution consiste à l’appuyer à mieux planifier ses stratégies de lutte contre le VIH/sida.
Se référant au dernier résultat de l’enquête à indicateurs multiples (MICS 2010), Eliwo Akoto, a indiqué que le taux moyen du VIH en République Centrafricaine est de 4,9. C’est pourquoi, a-t-il estimé, l’accès à cette information est essentiel pour inverser la tendance d’ici 2015.