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Le règlement intérieur du Conseil National de Transition est voté par 91 voix pour, un contre et une abstention

Bangui 5 Sept. (ACAP) - La Vice-présidente du Conseil National de Transition (CNT), Mme Léa Koyassoum Doumta, a rendu public le résultat du vote relatif à la révision du Règlement intérieur de l’institution dont est l’une des autorités, après les travaux en plénière, mercredi 4 septembre 2013, à Bangui.



La révision du Règlement intérieur du CNT a pour but d’adapter cet instrument à la Charte Constitutionnelle de Transition qui fait office de Constitution pour cette période de la transition.
 
Les points querellés au cours des débats à l’hémicycle du Conseil National de Transition ont porté sur le remplacement du Président du CNT en cas d’empêchement ; l’élection du Chef de l’Etat de la Transition, enfin, l’ordre des commissions.
 
Au sujet du premier point, au lieu que le Président désigne qui il veut, même un simple conseiller pour le substituer en cas d’empêchement, la commission loi a retenu la formule selon laquelle la priorité revient aux membres du bureau, à commencer par la Vice-présidente.
 
Quant au deuxième point, cela a été une première expérience, il revient aux Conseillers nationaux de Transition d’élire le chef de l’Etat de la Transition, comme ce fut le cas pour Michel Djotodia Am Nondroko.
 
Concernant le dernier point, la première place réclamée à cor et à cri par la Commission loi a été rejeté. Les conseillers ont estimé que toutes les commissions se valent, à commencer surtout par la commission Affaires étrangères.
 
Le Conseiller national Louis Papéniah, qui a émis un vote négatif, s’est plaint de la pratique parlementaire. Selon lui, « il n’appartient pas à la Commission de rejeter les propositions d’amendement. La Commission aurait pu soumettre les propositions d’amendement à la plénière qui est souveraine ».
 
Il a fait la part des choses entre l’interpellation, qui s’adresse au gouvernement à travers le premier ministre, qui doit se présenter devant les conseillers avec ses ministres. Quant à chaque ministre, Louis Papéniah a déclaré que le même exercice s’appelle « les questions écrites ou orales ». Pour cela, il a pris comme exemple le cas du Ministre de la Sécurité publique qui avait répondu aux conseillers au sujet des bavures enregistrées à Boy Rabe lors de l’opération dite de désarmement.
 

Jeudi 5 Septembre 2013
Alain-Patrick MAMADOU / ACAP

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