POLITIQUE
La grande marche, initiée par l’organisation « Coalition Citoyenne d’Opposition aux Rebelles Armées (COCORA) » avait pour objectif de protester contre l’occupation des localités situées dans la partie nord-est et du centre de la République Centrafricaine par la coalition ou alliance de groupe politico-militaires dénommée séléka qui regroupe les éléments de la Convention des Patriotes du Salut et du Kodro (CPSK), la Convention des Patriotes pour la Justice et la Paix (CPJP) et l’Union des Forces Démocratiques pour le Rassemblement (UFDR).
Dans son adresse à la population, le Président François Bozizé a déploré la méthode rocambolesque utilisée par les envahisseurs. Il s’agit de la destruction des unités de production, comme par exemple l’usine de la sucrerie de Ngakobo à Bambari et l’utilisation à dessein des stations services de Total, toujours à Bambari, au centre du pays.
Sur le plan social, le Président François Bozizé a désapprouvé les violences faites aux femmes et aux citoyens sans défense, les empêchant de jouir de leur liberté.
François Bozizé a également dénoncé le recrutement des étrangers dans les rangs des groupes armés, lesquels ne savent pas s’exprimer en Français ou en Sango, les deux langues officielles en République Centrafricaine. C’est le cas, selon lui, des Jendjawid et également Eric Levest, fils adoptif de Charles Massi, qui est d’origine martiniquaise.
Le Président de la République a conseillé la vigilance à tous les citoyens, de façon à ce qu’ils dénoncent aux forces de défenses et de sécurité tout mouvement suspect des intrus.
Abordant la question du dialogue politique, le Président François Bozizé a rappelé que c’est lui qui avait annoncé la nouvelle au mois de mai dernier, et qu’il l’a réitéré en France lors de sa rencontre avec les Centrafricains de la diaspora le 13 août 2012.
Il s’est également opposé à l’allégation visant à modifier la Constitution alors qu’il n’est pas aux termes de son mandat à la tête du pays. il a renchéri que sous son régime, il n’y a aucun prisonnier politique, encore moins une entrave à la liberté des journalistes. C’est là qu’il est revenu sur sa profession de foi qui met l’accent sur la paix et le travail, rien que le travail.
Pour terminer, le Président Bozizé a déploré le non respect des clauses du communiqué final des chefs d’Etat de la Communauté Economique et Monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC) de N’Djamena, ce qui leur a permis de progresser jusqu’à leurs positions actuelles.
C’est la troisième fois, après les députés et la jeunesse, que les Banguissois ont exprimé leurs contestations dans les rues de la capitale.
Dans son adresse à la population, le Président François Bozizé a déploré la méthode rocambolesque utilisée par les envahisseurs. Il s’agit de la destruction des unités de production, comme par exemple l’usine de la sucrerie de Ngakobo à Bambari et l’utilisation à dessein des stations services de Total, toujours à Bambari, au centre du pays.
Sur le plan social, le Président François Bozizé a désapprouvé les violences faites aux femmes et aux citoyens sans défense, les empêchant de jouir de leur liberté.
François Bozizé a également dénoncé le recrutement des étrangers dans les rangs des groupes armés, lesquels ne savent pas s’exprimer en Français ou en Sango, les deux langues officielles en République Centrafricaine. C’est le cas, selon lui, des Jendjawid et également Eric Levest, fils adoptif de Charles Massi, qui est d’origine martiniquaise.
Le Président de la République a conseillé la vigilance à tous les citoyens, de façon à ce qu’ils dénoncent aux forces de défenses et de sécurité tout mouvement suspect des intrus.
Abordant la question du dialogue politique, le Président François Bozizé a rappelé que c’est lui qui avait annoncé la nouvelle au mois de mai dernier, et qu’il l’a réitéré en France lors de sa rencontre avec les Centrafricains de la diaspora le 13 août 2012.
Il s’est également opposé à l’allégation visant à modifier la Constitution alors qu’il n’est pas aux termes de son mandat à la tête du pays. il a renchéri que sous son régime, il n’y a aucun prisonnier politique, encore moins une entrave à la liberté des journalistes. C’est là qu’il est revenu sur sa profession de foi qui met l’accent sur la paix et le travail, rien que le travail.
Pour terminer, le Président Bozizé a déploré le non respect des clauses du communiqué final des chefs d’Etat de la Communauté Economique et Monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC) de N’Djamena, ce qui leur a permis de progresser jusqu’à leurs positions actuelles.
C’est la troisième fois, après les députés et la jeunesse, que les Banguissois ont exprimé leurs contestations dans les rues de la capitale.
