POLITIQUE
L’objectif de cette visite de travail est de faire un état des lieux de l’unité de nutrition du Complexe pédiatrique et d’échanger avec le corps médical afin de s’assurer qu’un travail intégré est fait aux plans psychologique et comportemental des parents qui s’occupent des enfants
"Aujourd’hui, l’UNICEF et les autres partenaires humanitaires qui s’occupent de la malnutrition sont à court de ressources pour prendre en charge les enfants qui sont en détresse",a plaidé Pierre Somsé, estimant que "plus de 110 000 enfants de moins de cinq ans souffriront des malnutritions aiguë, aiguë modérée et aiguë sévère".
"Dans l’immédiat, il faut des ressources pour sauver des vies des enfants qui sont en danger à cause de la malnutrition sévère et chronique", a-t-il souligné.
Le membre du gouvernement a soutenu que les autorités centrafricaines sont très engagées sur la problématique de la nutrition et de l’alimentation, précisant que le gouvernement a mis en place une politique de sécurité alimentaire qui a été adoptée, donc les secteurs clés agricole et de l'élevage étant concernés, vont coordonner leurs efforts dans ce sens.
Pour sa part, la Représentante de l’UNICEF, Christine Muhigana, a relevé le faible taux d’allaitement maternel exclusif en Centrafrique, ce qui entrave une bonne nutrition et une force de l’enfant.
Elle a exhortés les mamans à donner exclusivement le lait maternel aux enfants, ce qui constitue la sécurité alimentaire chez l’enfant et à varier les aliments qu’on leur donne.
La Représentante de l’UNICEF Centrafrique a lancé un appel à la solidarité, à la générosité et à l’urgence à l’endroit de la communauté internationale afin d’apporter un secours aux enfants centrafricains souffrant de la malnutrition.
Mme Christine Muhigana a réaffirmé l’engagement de son institution à accompagner le gouvernement pour la sortie de l’urgence.
Il convient de noter que la détérioration de la situation nutritionnelle est due essentiellement à l’insécurité qui a provoqué des déplacements de population, l’interruption des travaux agricoles, la hausse des prix des denrées alimentaires et l’accès limité aux soins de santé primaire.
"Aujourd’hui, l’UNICEF et les autres partenaires humanitaires qui s’occupent de la malnutrition sont à court de ressources pour prendre en charge les enfants qui sont en détresse",a plaidé Pierre Somsé, estimant que "plus de 110 000 enfants de moins de cinq ans souffriront des malnutritions aiguë, aiguë modérée et aiguë sévère".
"Dans l’immédiat, il faut des ressources pour sauver des vies des enfants qui sont en danger à cause de la malnutrition sévère et chronique", a-t-il souligné.
Le membre du gouvernement a soutenu que les autorités centrafricaines sont très engagées sur la problématique de la nutrition et de l’alimentation, précisant que le gouvernement a mis en place une politique de sécurité alimentaire qui a été adoptée, donc les secteurs clés agricole et de l'élevage étant concernés, vont coordonner leurs efforts dans ce sens.
Pour sa part, la Représentante de l’UNICEF, Christine Muhigana, a relevé le faible taux d’allaitement maternel exclusif en Centrafrique, ce qui entrave une bonne nutrition et une force de l’enfant.
Elle a exhortés les mamans à donner exclusivement le lait maternel aux enfants, ce qui constitue la sécurité alimentaire chez l’enfant et à varier les aliments qu’on leur donne.
La Représentante de l’UNICEF Centrafrique a lancé un appel à la solidarité, à la générosité et à l’urgence à l’endroit de la communauté internationale afin d’apporter un secours aux enfants centrafricains souffrant de la malnutrition.
Mme Christine Muhigana a réaffirmé l’engagement de son institution à accompagner le gouvernement pour la sortie de l’urgence.
Il convient de noter que la détérioration de la situation nutritionnelle est due essentiellement à l’insécurité qui a provoqué des déplacements de population, l’interruption des travaux agricoles, la hausse des prix des denrées alimentaires et l’accès limité aux soins de santé primaire.
