POLITIQUE
Selon le ministre Maxime Balalou, au lendemain de la prise de fonction du Président Faustin Archange Touadéra, l’état des lieux montre que ce pays sort de loin.
Pour lui, les responsables de cette crise sont toujours là, en train de faire la politique et pensent qu’à travers leurs vielles méthodes, ils seront à mesure d’accéder à la magistrature suprême de l’Etat.
« Nous sommes pour le dialogue, ce dialogue se fera par rapport à la nouvelle constitution, pas en dehors de celle-ci comme veulent les opposants. La nouvelle constitution de 30 août 2023 est intouchable, la question est plutôt de discuter sur l’amélioration des conditions pour aller aux élections car tout est fixé dans les dispositifs constitutionnels » a dit Maxime Balalou.
Le Porte-parole du gouvernement à préciser que le gouvernement donnera sa position claire dans les prochains jours sur les élections locales et générales, car le débat reste au niveau de la commission.
La conférence de presse organisée par le Bloc Républicain pour la Défense Constitutionnelle (BDRC) dernièrement relative au drame survenu au Lycée Barthélemy Boganda le 25 juin 2025 demandant au gouvernement de déposer sa démissionner constitue un dérapage total a poursuivi le ministre.
Il a ajouté qu’après ce drame, le Président Faustin Archange Touadéra, en sa qualité de père de la nation et enseignant, s’est rendu personnellement au Centre National Hospitalier Universitaire (CNHU), rendre visite aux élèves blessés lors de cet incident du 25 juin 2025 au Lycée Barthélemy Boganda.
« Trois équipes ont été mises en place avec pour mission d’apporter un soutien moral, social, logistique et institutionnel à chaque foyer endeuillé » a clarifié le Porte-parole du gouvernement.
Il a précisé que le ministre d’Etat à l’Education nationale Aurélien Simplice Zingas, le ministre Pierre Somsé de la santé, le ministre Jean Laurent Sissa Magalé de l’Enseignement Supérieur et la ministre Marthe Kirima du Travail et de l’Emploi, et lui-même sont chargés d’assister ces familles.
Le gouvernement est en train de travailler sur les élections, celles prévues au mois de décembre 2025 auront bel et bien lieu, mais les élections locales peuvent être repoussées a-t-il dit.
Concernant le forum de haut niveau, organisé du 1er au 2 juillet 2025, le membre du gouvernement a confirmé que le secteur privé a été représenté et s’est exprimé sur les enjeux d’exclusivité dans la zone de retour des déplacés de force.
« Il a été demandé au secteur privé à promouvoir l’inclusion économique des personnes déplacées, à créer des conditions pour que ceux qui ne sont pas chez eux puissent développer des activités économiques pour leur survie et d’avoir la possibilité de rentrer chez eux » a poursuivi le ministre.
Le ministre Maxime Balalou est revenu sur le projet d’installation des forages dans le pays.
« 100 forages doivent être installés dans la ville de Bangui, à Bimbo, et à Bégoa. Il est prévu l’alimentation en eau potable dans les 8 chefs-lieux à travers le pays, il s’agit des villes de Bria, Birao, Bouar, Bangassou, Kaka-Bandoro, Sibut, et de Ndélé comme ailleurs à Berberati et Bambari » a-t-il conclu.
Pour lui, les responsables de cette crise sont toujours là, en train de faire la politique et pensent qu’à travers leurs vielles méthodes, ils seront à mesure d’accéder à la magistrature suprême de l’Etat.
« Nous sommes pour le dialogue, ce dialogue se fera par rapport à la nouvelle constitution, pas en dehors de celle-ci comme veulent les opposants. La nouvelle constitution de 30 août 2023 est intouchable, la question est plutôt de discuter sur l’amélioration des conditions pour aller aux élections car tout est fixé dans les dispositifs constitutionnels » a dit Maxime Balalou.
Le Porte-parole du gouvernement à préciser que le gouvernement donnera sa position claire dans les prochains jours sur les élections locales et générales, car le débat reste au niveau de la commission.
La conférence de presse organisée par le Bloc Républicain pour la Défense Constitutionnelle (BDRC) dernièrement relative au drame survenu au Lycée Barthélemy Boganda le 25 juin 2025 demandant au gouvernement de déposer sa démissionner constitue un dérapage total a poursuivi le ministre.
Il a ajouté qu’après ce drame, le Président Faustin Archange Touadéra, en sa qualité de père de la nation et enseignant, s’est rendu personnellement au Centre National Hospitalier Universitaire (CNHU), rendre visite aux élèves blessés lors de cet incident du 25 juin 2025 au Lycée Barthélemy Boganda.
« Trois équipes ont été mises en place avec pour mission d’apporter un soutien moral, social, logistique et institutionnel à chaque foyer endeuillé » a clarifié le Porte-parole du gouvernement.
Il a précisé que le ministre d’Etat à l’Education nationale Aurélien Simplice Zingas, le ministre Pierre Somsé de la santé, le ministre Jean Laurent Sissa Magalé de l’Enseignement Supérieur et la ministre Marthe Kirima du Travail et de l’Emploi, et lui-même sont chargés d’assister ces familles.
Le gouvernement est en train de travailler sur les élections, celles prévues au mois de décembre 2025 auront bel et bien lieu, mais les élections locales peuvent être repoussées a-t-il dit.
Concernant le forum de haut niveau, organisé du 1er au 2 juillet 2025, le membre du gouvernement a confirmé que le secteur privé a été représenté et s’est exprimé sur les enjeux d’exclusivité dans la zone de retour des déplacés de force.
« Il a été demandé au secteur privé à promouvoir l’inclusion économique des personnes déplacées, à créer des conditions pour que ceux qui ne sont pas chez eux puissent développer des activités économiques pour leur survie et d’avoir la possibilité de rentrer chez eux » a poursuivi le ministre.
Le ministre Maxime Balalou est revenu sur le projet d’installation des forages dans le pays.
« 100 forages doivent être installés dans la ville de Bangui, à Bimbo, et à Bégoa. Il est prévu l’alimentation en eau potable dans les 8 chefs-lieux à travers le pays, il s’agit des villes de Bria, Birao, Bouar, Bangassou, Kaka-Bandoro, Sibut, et de Ndélé comme ailleurs à Berberati et Bambari » a-t-il conclu.
