« Cela ne peut venir que des ennemis de la République », a déclaré Ange-Maxime Kazagui, déplorant que cet incendie intervienne au moment où beaucoup d’efforts sont consentis pour renforcer la cohésion sociale.
Les premiers témoignages recueillis par l’ACAP à Bangassou portent à croire qu’il s’agirait d’un incendie criminel, le feu ayant été mis à l’aide de brindilles arrachées à la clôture d’une propriété voisine de la radio.
"la porte a été cassée, les ordinateurs emportés, les fournitures entassées et brulées et le feu a pris toute la maison, c’est pour dire que les pistes criminelles ne sont pas à écarter », a confié un responsable de la radio au Réseau des journalistes pour les droits de l'Homme.
L'incendie de Radio Mbari intervient alors que Bangassou prépare une visite du Cardinal Dieudonné Nzapalainga, attendu pour un grand culte marquant la réconciliation entre les communautés locales, favorisée entre autres par la présence des forces armées centrafricaines (FACA) redéployées depuis un mois.
Après cette rencontre, les déplacés de la communauté musulmane devraient quitter la paroisse où ils vivaient reclus depuis l'attaque des groupes armés en mai 2017.
Longtemps épargnée par les violences qui affectent la République Centrafricaine depuis décembre 2013, La ville de Bangassou a été le théâtre, le 13 mai 2017, d’un assaut lancé par des groupes d’auto-défense assimilés aux anti-Balaka qui a causé plusieurs victimes, dont des casques bleus, et fait des milliers de déplacés.
En visite dans le pays en octobre 2017, le Secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, avait fait le déplacement de Bangassou pour s'entretenir avec ces déplacés.
Les premiers témoignages recueillis par l’ACAP à Bangassou portent à croire qu’il s’agirait d’un incendie criminel, le feu ayant été mis à l’aide de brindilles arrachées à la clôture d’une propriété voisine de la radio.
"la porte a été cassée, les ordinateurs emportés, les fournitures entassées et brulées et le feu a pris toute la maison, c’est pour dire que les pistes criminelles ne sont pas à écarter », a confié un responsable de la radio au Réseau des journalistes pour les droits de l'Homme.
L'incendie de Radio Mbari intervient alors que Bangassou prépare une visite du Cardinal Dieudonné Nzapalainga, attendu pour un grand culte marquant la réconciliation entre les communautés locales, favorisée entre autres par la présence des forces armées centrafricaines (FACA) redéployées depuis un mois.
Après cette rencontre, les déplacés de la communauté musulmane devraient quitter la paroisse où ils vivaient reclus depuis l'attaque des groupes armés en mai 2017.
Longtemps épargnée par les violences qui affectent la République Centrafricaine depuis décembre 2013, La ville de Bangassou a été le théâtre, le 13 mai 2017, d’un assaut lancé par des groupes d’auto-défense assimilés aux anti-Balaka qui a causé plusieurs victimes, dont des casques bleus, et fait des milliers de déplacés.
En visite dans le pays en octobre 2017, le Secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, avait fait le déplacement de Bangassou pour s'entretenir avec ces déplacés.