Cette conférence de presse a permis au diplomate Onusien, le général Babacar Gaye de présenter les grands axes de sa mission dévolue par le Secrétaire Général des nations-Unies, Ban Ki-moon, en République Centrafricaine pendant la période de la transition.
« Les autorités de transition doivent créer des conditions sécuritaires dans l’ensemble du pays afin de bénéficier de l’appui financière des partenaires au développement » a insisté le diplomate onusienne.
Il a exprimé l’intention du Bureau Intégré des Nations-Unies en Centrafrique de créer un couloir humanitaire mobile dans les provinces de la RCA.
Pour le Général Babcar Gaye, les gestes de bonne volonté et la confiance mutuelle entre tous les acteurs vont contribuer très certainement à calmer la situation.
En ce qui concerne la circulation des armes en République Centrafricaine, le Représentant du Secrétaire général, le Général Babacar Gaye a argué que le problème de la circulation des armes n’est pas propre à la République Centrafricaine, ni à la sous région, c’est un phénomène qui est nouveau.
Mais, a-t- il précisé nous pouvons nous inspirer de ce qui est fait dans d’autres régions, comme la région Ouest-africaine où un moratoire des armes a été signé par plusieurs Etats qui assurent entre eux une forme de contrôle de flux en armement, par les ONGs et la Société Civile afin de combattre ce fléau.
Cet exemple est idem pour la Centrafrique. Mais, pour ma part en que tant que militaire, la solution est politique. « Il faut que les acteurs trouvent les accords les plus inclusifs possible de telle sorte qu’il n’y ait plus de raison de recourir aux armes de pouvoir gouverner ce pays », a-t-il dit en substance.
Il convient de rappeler que le Général Babacar Gaye succède à Mme Margaret Vogt, du Nigeria.
« Les autorités de transition doivent créer des conditions sécuritaires dans l’ensemble du pays afin de bénéficier de l’appui financière des partenaires au développement » a insisté le diplomate onusienne.
Il a exprimé l’intention du Bureau Intégré des Nations-Unies en Centrafrique de créer un couloir humanitaire mobile dans les provinces de la RCA.
Pour le Général Babcar Gaye, les gestes de bonne volonté et la confiance mutuelle entre tous les acteurs vont contribuer très certainement à calmer la situation.
En ce qui concerne la circulation des armes en République Centrafricaine, le Représentant du Secrétaire général, le Général Babacar Gaye a argué que le problème de la circulation des armes n’est pas propre à la République Centrafricaine, ni à la sous région, c’est un phénomène qui est nouveau.
Mais, a-t- il précisé nous pouvons nous inspirer de ce qui est fait dans d’autres régions, comme la région Ouest-africaine où un moratoire des armes a été signé par plusieurs Etats qui assurent entre eux une forme de contrôle de flux en armement, par les ONGs et la Société Civile afin de combattre ce fléau.
Cet exemple est idem pour la Centrafrique. Mais, pour ma part en que tant que militaire, la solution est politique. « Il faut que les acteurs trouvent les accords les plus inclusifs possible de telle sorte qu’il n’y ait plus de raison de recourir aux armes de pouvoir gouverner ce pays », a-t-il dit en substance.
Il convient de rappeler que le Général Babacar Gaye succède à Mme Margaret Vogt, du Nigeria.