Connectez-vous S'inscrire
AGENCE CENTRAFRIQUE DE PRESSE "AGENCE DE L'UNITE NATIONALE"- République Centrafricaine, Bangui
Inscription à la newsletter
acapnews@gmail.com
Plus d'informations sur cette page : http://https://www.acap.cf/
AGENCE CENTRAFRICAINE DE PRESSE
 
     

Le Sultan de Bangassou Maxime-Faustin Mbringa Takama dénonce les souffrances infligées aux populations du Mbomou et du Haut Mbomou par les éléments de la Séléka

Bangui 19 mars (ACAP) - Le Sultan de Bangassou, Maxime-Faustin Mbringa Takama, a dénoncé les souffrances infligées aux populations du Mbomou et du Haut Mbomou par les éléments de la Séléka au cours d’une déclaration sur la question, mardi 19 mars 2013 à Bangui.



La déclaration du sultan de Bangassou a pour objectif d’interpeller les acteurs en présence, à savoir : les Séléka, le Président de la République François Bozizé et la communauté internationale.
 
Maxime-Faustin Mbringa Takama a fait remarquer que sous prétexte de l’inobservation des accords de paix de Libreville du 11 janvier 2013, les éléments de la Séléka ont investi les localités du Mbomou et du Haut Mbomou le 11 mars 2013.
 
Ces conquêtes ont eu pour conséquences, selon Takama, le massacre et la tuerie des jeunes qui ont tenté de défendre les localités, les tortures et viols infligés sur la population civile et les prêtres, la destruction, la saccage et le pillage des infrastructures de l’Evêché, du Petit séminaire Saint Louis, des différentes paroisses et des infrastructures administratives.
 
Devant ces graves violations des droits humains, Maxime-Faustin Mbringa Takama condamne les agressions quel qu’en soient les raisons ; prend acte la rupture du pacte de sang conclu entre le roi Bangassou et le sultan Senoussi du Dar El Kouti en 1880 ; félicite les Forces Armées Centrafricaines (FACA) et met en garde les natifs du Mbomou qui ont rallié les combattants des Séléka.
 
De ce qui précède, le sultan de Bangassou a demandé aux Séléka de respecter les accords de Libreville, a lancé un appel au chef de l’Etat et au gouvernement de déclarer l’état d’urgence pour les préfectures occupées par la Coalition Séléka ; lancer un appel à l’assistance humanitaire d’urgence en faveur des enfants, des jeunes, des femmes en détresse et œuvrer pour le retour rapide à la sécurité, à la paix et au droit à la réparation.
 
Il a saisi l’occasion pour lancer un appel aux partenaires traditionnels de la République Centrafricaine d’aider le gouvernement à faire respecter les accords de Libreville et à apporter une aide humanitaire dans les zones de conflit.
 
Il a exhorté les ressortissants du Mbomou et du Haut Mbomou où qu’ils se trouvent à se mobiliser pour venir en aide dans le meilleurs délai à leurs frères et sœurs éprouvés.
 
Enfin, il a consolé la population, qui ne doit pas se décourager.
 
La déclaration du sultan de Bangassou a pour objectif d’interpeller les acteurs en présence, à savoir : les Séléka, le Président de la République François Bozizé et la communauté internationale.
 
Maxime-Faustin Mbringa Takama a fait remarquer que sous prétexte de l’inobservation des accords de paix de Libreville du 11 janvier 2013, les éléments de la Séléka ont investi les localités du Mbomou et du Haut Mbomou le 11 mars 2013.
 
Ces conquêtes ont eu pour conséquences, selon Takama, le massacre et la tuerie des jeunes qui ont tenté de défendre les localités, les tortures et viols infligés sur la population civile et les prêtres, la destruction, la saccage et le pillage des infrastructures de l’Evêché, du Petit séminaire Saint Louis, des différentes paroisses et des infrastructures administratives.
 
Devant ces graves violations des droits humains, Maxime-Faustin Mbringa Takama condamne les agressions quel qu’en soient les raisons ; prend acte la rupture du pacte de sang conclu entre le roi Bangassou et le sultan Senoussi du Dar El Kouti en 1880 ; félicite les Forces Armées Centrafricaines (FACA) et met en garde les natifs du Mbomou qui ont rallié les combattants des Séléka.
 
De ce qui précède, le sultan de Bangassou a demandé aux Séléka de respecter les accords de Libreville, a lancé un appel au chef de l’Etat et au gouvernement de déclarer l’état d’urgence pour les préfectures occupées par la Coalition Séléka ; lancer un appel à l’assistance humanitaire d’urgence en faveur des enfants, des jeunes, des femmes en détresse et œuvrer pour le retour rapide à la sécurité, à la paix et au droit à la réparation.
 
Il a saisi l’occasion pour lancer un appel aux partenaires traditionnels de la République Centrafricaine d’aider le gouvernement à faire respecter les accords de Libreville et à apporter une aide humanitaire dans les zones de conflit.
 
Il a exhorté les ressortissants du Mbomou et du Haut Mbomou où qu’ils se trouvent à se mobiliser pour venir en aide dans le meilleurs délai à leurs frères et sœurs éprouvés.
 
Enfin, il a consolé la population, qui ne doit pas se décourager.
 

Mardi 19 Mars 2013
Alain-Patrick MAMADOU/ACAP

POLITIQUE | ECONOMIE | SOCIAL | CULTURE | SPORTS | ENVIRONNEMENT | EDUCATION | DEVELOPPEMENT | SOCIETE | RELIGION | INTERNATIONAL | AFRIQUE | HUMEUR | GRANDE INTERVIEW | HUMANITAIRE | DROITS DE L'HOMME | MEDIAS | SECURITE | JUSTICE | SANTE | Videos



Les nouvelles officielles sur la République Centrafricaine

Partagez-nous sur
Facebook
Newsletter
Viadeo
Mobile
Flickr