Le Président du CNT, Alexandre Ferdinand Nguedet a précisé que l’enjeu de cette session extraordinaire est de permettre aux conseillers d’adopter le projet de cette Charte Constitutionnelle de Transition et de voter une loi fondamentale qui va régir la transition
La charpente de cette Charte Constitutionnelle de la Transition est structurée de la manière suivante : le pouvoir Exécutif, le Conseil National de Transition, la Cour Constitutionnelle de Transition, le Haut Conseil de la Communication de Transition, le pouvoir Judiciaire et les Collectivités Territoriales etc.
Le Pouvoir Exécutif est composé du Chef de l’Etat de la Transition et du Premier Ministre, Chef du Gouvernement de Transition. Le Chef de l’Etat de la Transition est élu par le Conseil National de Transition pour la durée de transition. Ce texte prévoit aussi que le Premier Ministre est responsable de la coordination des activités des différents départements ministériels.
Tandis que le Pouvoir législatif et constituant de la République Centrafricaine est exercé par le Constitution National de Transition. Il est constitué de cent trente cinq (135) membres représentant les différentes catégories politiques et socioprofessionnelles du pays.
Enfin, le Pouvoir judicaire est indépendant du Pouvoir législatif et exécutif.
Le Président Alexandre Ferdinand Nguendet a soutenu que les Chefs d’Etat et les Gouvernements de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC) réunis à Ndjamena les 3 et 18 avril 2013, dans le cadre de la résolution de la crise centrafricaine, ont demandé aux nouvelles autorités de ce pays de doter la transition centrafricaine d’un cadre constitutionnel et institutionnel transitoire et adapté à la République Centrafricaine et susceptible d’organiser une bonne gouvernance de l’Etat jusqu’aux prochaines élections démocratiques.
Toutefois, a-t-il noté, un atelier de concertation regroupant des entités diverses de la société centrafricaine a été convoqué à cet effet les 28, 29 et 30 juin dernier d’où il en est sorti le texte soumis à l’examen des conseillers pour adoption.
Au sujet d’insécurité grandissante dans le pays, le Président Alexandre Ferdinand Nguendet, a demandé au gouvernement de tout mettre en œuvre pour accélérer le processus de pacification du pays qui reste une conditionnalité de l’aide, certains donateurs estiment que les efforts accomplis jusqu’ici restent insuffisants.
Enfin, le Président Alexandre Ferdinand Nguendet a exhorté le gouvernement à se pencher sur la question du retard de salaires des fonctionnaires qui risque de compromettre la marche de la transition qui a grandement besoin du soutien de l’administration.
La charpente de cette Charte Constitutionnelle de la Transition est structurée de la manière suivante : le pouvoir Exécutif, le Conseil National de Transition, la Cour Constitutionnelle de Transition, le Haut Conseil de la Communication de Transition, le pouvoir Judiciaire et les Collectivités Territoriales etc.
Le Pouvoir Exécutif est composé du Chef de l’Etat de la Transition et du Premier Ministre, Chef du Gouvernement de Transition. Le Chef de l’Etat de la Transition est élu par le Conseil National de Transition pour la durée de transition. Ce texte prévoit aussi que le Premier Ministre est responsable de la coordination des activités des différents départements ministériels.
Tandis que le Pouvoir législatif et constituant de la République Centrafricaine est exercé par le Constitution National de Transition. Il est constitué de cent trente cinq (135) membres représentant les différentes catégories politiques et socioprofessionnelles du pays.
Enfin, le Pouvoir judicaire est indépendant du Pouvoir législatif et exécutif.
Le Président Alexandre Ferdinand Nguendet a soutenu que les Chefs d’Etat et les Gouvernements de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC) réunis à Ndjamena les 3 et 18 avril 2013, dans le cadre de la résolution de la crise centrafricaine, ont demandé aux nouvelles autorités de ce pays de doter la transition centrafricaine d’un cadre constitutionnel et institutionnel transitoire et adapté à la République Centrafricaine et susceptible d’organiser une bonne gouvernance de l’Etat jusqu’aux prochaines élections démocratiques.
Toutefois, a-t-il noté, un atelier de concertation regroupant des entités diverses de la société centrafricaine a été convoqué à cet effet les 28, 29 et 30 juin dernier d’où il en est sorti le texte soumis à l’examen des conseillers pour adoption.
Au sujet d’insécurité grandissante dans le pays, le Président Alexandre Ferdinand Nguendet, a demandé au gouvernement de tout mettre en œuvre pour accélérer le processus de pacification du pays qui reste une conditionnalité de l’aide, certains donateurs estiment que les efforts accomplis jusqu’ici restent insuffisants.
Enfin, le Président Alexandre Ferdinand Nguendet a exhorté le gouvernement à se pencher sur la question du retard de salaires des fonctionnaires qui risque de compromettre la marche de la transition qui a grandement besoin du soutien de l’administration.