POLITIQUE
L’objectif de cette rencontre avec la presse est d‘ informer l’opinion nationale et internationale sur le cycle infernal de violence que connait la ville de Bangui ces derniers temps et aussi de formuler des solutions concertées et apaisées à ladite crise.
Le Président Michel Djotodia Am Nondroko a instruit le ministre intérimaire de la Sécurité et de l’Ordre Public de suspendre la tenue de toute marche illégale dans la capitale ainsi que les attroupements intempestifs en vue de préserver la sécurité et la paix dans la ville de Bangui.
S’agissant de la partition de la République Centrafricaine, le Chef de l’Etat de la transition, Michel Djotodia Am Nondroko a qualifié la déclaration de son Conseiller Abakar Sabone, d’irresponsable et dangereuse. Car, a poursuivi le Président de la République, celle-ci est contraire aux idéaux qui fondent la nation centrafricaine.
Enfin, le Président Michel Djotodia Am Nondroko a remercié tous les partenaires internationaux, tous les chefs religieux et notables, les femmes, les jeunes et toutes les bonnes volontés pour leur engagement dans le processus difficile de restauration de la paix dans notre pays.
Par ailleurs, le Premier ministre, Chef du Gouvernement d’Union Nationale, Me Nicolas Tiangaye a fait remarquer que « la résolution de la crise centrafricaine est une affaire qui engage tous les centrafricains sans exception ». Il a remercié les autorités religieuses pour le travail inlassable qu’ils ont fait et qu’ils ne cessent de faire, non seulement dans notre pays, mais également à l’étranger.
Selon Me Nicolas Tiangaye, la tâche la plus difficile, est le désarmement des esprits et des cœurs. "Pour réaliser cette tâche nous pensons que tout le monde doit y participer notamment les partis politiques, la société civile et autres. Chacun dans son coin doit participer à ce travail de désarmement des esprits et des cœurs pour que la paix revienne définitivement dans notre pays", a poursuivi le 1er ministre.
En ce qui concerne la présence de l’armée tchadienne en Centrafrique, le premier ministre, Me Nicolas Tiangaye a fait savoir que les troupes tchadiennes ne sont pas en Centrafrique de leur propre gré. Elles sont là dans un cadre communautaire, elles travaillent dans le cadre d’un mandat de la CEEAC et aujourd’hui sous mandat des Nations-Unies, placé sous le chapitre 7 de la Charte des Nations Unies.
Aux dires du Premier ministre, Me Nicolas Tiangaye," nous en tant qu’Etat, nous n’avons pas a formulé un quelconque jugement de valeur sur la présence des troupes tchadiennes et autres qui opèrent dans notre pays pour ramener la paix et la sécurité".
D’après Me Nicolas Tiangaye, "nous avons un devoir de gratitude et de reconnaissance vis-à-vis des Etats qui ont envoyés des troupes en Centrafrique pour nous aider à retrouver la paix et la sécurité. Ces pays ont fait des sacrifices énormes pour nous, ils ont perdu des soldats pour nous, et mobilisé des ressources financières, qu’ils auraient pu mobiliser dans leur pays, ils l’ont fait pour nous".
« Le contraire serait de l’ingratitude qui ne serait être accepté. C’est pour cela, je pense que la polarisation sur la question des troupes tchadiennes en RCA, est un faux débat », a-t-il conclu.
Le Président Michel Djotodia Am Nondroko a instruit le ministre intérimaire de la Sécurité et de l’Ordre Public de suspendre la tenue de toute marche illégale dans la capitale ainsi que les attroupements intempestifs en vue de préserver la sécurité et la paix dans la ville de Bangui.
S’agissant de la partition de la République Centrafricaine, le Chef de l’Etat de la transition, Michel Djotodia Am Nondroko a qualifié la déclaration de son Conseiller Abakar Sabone, d’irresponsable et dangereuse. Car, a poursuivi le Président de la République, celle-ci est contraire aux idéaux qui fondent la nation centrafricaine.
Enfin, le Président Michel Djotodia Am Nondroko a remercié tous les partenaires internationaux, tous les chefs religieux et notables, les femmes, les jeunes et toutes les bonnes volontés pour leur engagement dans le processus difficile de restauration de la paix dans notre pays.
Par ailleurs, le Premier ministre, Chef du Gouvernement d’Union Nationale, Me Nicolas Tiangaye a fait remarquer que « la résolution de la crise centrafricaine est une affaire qui engage tous les centrafricains sans exception ». Il a remercié les autorités religieuses pour le travail inlassable qu’ils ont fait et qu’ils ne cessent de faire, non seulement dans notre pays, mais également à l’étranger.
Selon Me Nicolas Tiangaye, la tâche la plus difficile, est le désarmement des esprits et des cœurs. "Pour réaliser cette tâche nous pensons que tout le monde doit y participer notamment les partis politiques, la société civile et autres. Chacun dans son coin doit participer à ce travail de désarmement des esprits et des cœurs pour que la paix revienne définitivement dans notre pays", a poursuivi le 1er ministre.
En ce qui concerne la présence de l’armée tchadienne en Centrafrique, le premier ministre, Me Nicolas Tiangaye a fait savoir que les troupes tchadiennes ne sont pas en Centrafrique de leur propre gré. Elles sont là dans un cadre communautaire, elles travaillent dans le cadre d’un mandat de la CEEAC et aujourd’hui sous mandat des Nations-Unies, placé sous le chapitre 7 de la Charte des Nations Unies.
Aux dires du Premier ministre, Me Nicolas Tiangaye," nous en tant qu’Etat, nous n’avons pas a formulé un quelconque jugement de valeur sur la présence des troupes tchadiennes et autres qui opèrent dans notre pays pour ramener la paix et la sécurité".
D’après Me Nicolas Tiangaye, "nous avons un devoir de gratitude et de reconnaissance vis-à-vis des Etats qui ont envoyés des troupes en Centrafrique pour nous aider à retrouver la paix et la sécurité. Ces pays ont fait des sacrifices énormes pour nous, ils ont perdu des soldats pour nous, et mobilisé des ressources financières, qu’ils auraient pu mobiliser dans leur pays, ils l’ont fait pour nous".
« Le contraire serait de l’ingratitude qui ne serait être accepté. C’est pour cela, je pense que la polarisation sur la question des troupes tchadiennes en RCA, est un faux débat », a-t-il conclu.
