POLITIQUE
L’occasion de la Journée internationale de la femme est une opportunité pour approfondir les réflexions sur les conditions d’existence des femmes, généralement teintées de violence de tous genres et de discrimination. Raison pour laquelle, pour accélérer le processus de promotion du genre, le thème retenu cette année est : « une promesse est une promesse. Il est temps de passer à l’action pour mettre fin à la violence à l’égard des femmes ».
Dans son discours de circonstance, le Président François Bozizé a été conscient de ce que, les femmes de son pays célèbrent la Journée internationale de la femme dans un contexte particulier.
Il s’agit ici de la nouvelle crise déclenchée depuis le 10 décembre 1012 par les éléments de la Coalition Séléka et qui, selon François Bozizé, « a rendu fragile le tissu social et économique, a ralenti les performances en matière des droits humains pourtant chèrement acquis avec l’appui de la communauté internationale ».
Planchant toujours sur la question, le Président François Bozizé a évoqué la mise à mal des infrastructures de base, de même que la vie qui a été rendue précaire dans les zones occupées par les forces coalisées de la rébellion.
Pour le Président François Bozizé alors, les victimes de cette nouvelle crise sont, une fois de plus, « les femmes, les filles, les enfants, qui paient le lourd tribut ».
Faisant allusions aux instruments juridiques tant nationaux qu’internationaux qui protègent les femmes, François Bozizé pensent que « les violences à l’égard des femmes et des filles sont des crimes contre l’humanité ». En conséquence, il croit qu’il est temps « de prendre des mesures pour déclarer la tolérance zéro immédiatement envers les crimes et violences sexuelles basées sur le genre ».
Pour exhorter les Centrafricains à aimer leur pays, le Président de la République François Bozizé leur a clairement signifié que ce pays ne doit pas être détruit par les autres, auquel cas, les Centrafricains doivent rassembler leur intelligence autour de ce pays pour le faire sortir de l’impasse qui hypothèque gravement son avenir.
La Journée internationale de la femme en République Centrafricaine a été émaillée d’activités telles que la messe d’action de grâce en la Cathédrale de l’Immaculée conception de Bangui, la quinzaine de l’exposition vente, toujours à la Cathédrale de l’Immaculée conception de Bangui, la marche pour la paix, la grande rencontre de toutes les femmes à l’hémicycle de l’Assemblée nationale, enfin les conférences-débats sectoriels suivis de réjouissances populaires organisées par les femmes des organisations ou institution étatiques.
Le clou de la rencontre à l’Assemblée nationale a été les communications sur les causes sur les causes et les manifestations des violences faites aux femmes et aux filles, les instruments juridiques internationaux et nationaux qui protègent les femmes et qui n’attendent que leur mise en œuvre et le message du Secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki Moon.
Dans son discours de circonstance, le Président François Bozizé a été conscient de ce que, les femmes de son pays célèbrent la Journée internationale de la femme dans un contexte particulier.
Il s’agit ici de la nouvelle crise déclenchée depuis le 10 décembre 1012 par les éléments de la Coalition Séléka et qui, selon François Bozizé, « a rendu fragile le tissu social et économique, a ralenti les performances en matière des droits humains pourtant chèrement acquis avec l’appui de la communauté internationale ».
Planchant toujours sur la question, le Président François Bozizé a évoqué la mise à mal des infrastructures de base, de même que la vie qui a été rendue précaire dans les zones occupées par les forces coalisées de la rébellion.
Pour le Président François Bozizé alors, les victimes de cette nouvelle crise sont, une fois de plus, « les femmes, les filles, les enfants, qui paient le lourd tribut ».
Faisant allusions aux instruments juridiques tant nationaux qu’internationaux qui protègent les femmes, François Bozizé pensent que « les violences à l’égard des femmes et des filles sont des crimes contre l’humanité ». En conséquence, il croit qu’il est temps « de prendre des mesures pour déclarer la tolérance zéro immédiatement envers les crimes et violences sexuelles basées sur le genre ».
Pour exhorter les Centrafricains à aimer leur pays, le Président de la République François Bozizé leur a clairement signifié que ce pays ne doit pas être détruit par les autres, auquel cas, les Centrafricains doivent rassembler leur intelligence autour de ce pays pour le faire sortir de l’impasse qui hypothèque gravement son avenir.
La Journée internationale de la femme en République Centrafricaine a été émaillée d’activités telles que la messe d’action de grâce en la Cathédrale de l’Immaculée conception de Bangui, la quinzaine de l’exposition vente, toujours à la Cathédrale de l’Immaculée conception de Bangui, la marche pour la paix, la grande rencontre de toutes les femmes à l’hémicycle de l’Assemblée nationale, enfin les conférences-débats sectoriels suivis de réjouissances populaires organisées par les femmes des organisations ou institution étatiques.
Le clou de la rencontre à l’Assemblée nationale a été les communications sur les causes sur les causes et les manifestations des violences faites aux femmes et aux filles, les instruments juridiques internationaux et nationaux qui protègent les femmes et qui n’attendent que leur mise en œuvre et le message du Secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki Moon.
