POLITIQUE
Le président de la République, Faustin Archange Touadéra
"Toutes les crises dont les contrecoups se font sentir aujourd'hui puisent leurs racines dans notre absence de confiance réciproque, dans notre décadence morale, dans notre vision tronquée de l'Etat", a relevé le chef de l'Etat.
"Au moment où nous commémorons cette indépendance, l’un des éléments essentiels de cette souveraineté est gravement menacé, le territoire est envahi par des mercenaires étrangers, qui se disputent le contrôle de nos ressources naturelles", a-t-il martelé, réaffirmant sa "ferme volonté de travailler pour reconquérir cet élément de souveraineté".
Faustin Archange Touadéra a salué la mise en place d’un plan de relèvement économique dont les revues à mi-parcours démontrent que le pays avance en dépit de quelques insuffisances qu’il faudrait rapidement corriger.
Au plan politique, le locataire du Palais de la Renaissance a réaffirmé sa volonté de maintenir le dialogue avec les groupes armés, malgré la gravité de la situation et la légitimité des attentes de ses compatriotes, expliquant que "la guerre n'a jamais imposé la paix" et que les contradictions doivent être réglées par le dialogue.
Il a par conséquent invité les différents groupes armés à adhérer de bonne foi à l’initiative de paix de l’Union Africaine et respecter ce qui y aura été retenu.
"Je m'engage à appliquer tout arrangement qui sortira de cette dynamique, pourvu qu'il soit conforme à la Constitution et aux lois de la République", a-t-il promis.
Dans le domaine de la sécurité et des infrastructures, il a rappelé les différentes démarches menées grâce au concours de la communauté internationale en vue de réussir le grand désarmement, démobilisation, réinsertion et rapatriement (DDRR), condition sine qua non à la paix.
Il a également évoqué la question des progrès réalisés en matière de reconstruction des forces armées centrafricaines, de la justice, de la modernisation de l’administration centrafricaine, de l’emploi des jeunes.
Sur le plan social, le Président de la République a annoncé à ses compatriotes des projets en cours de réalisation leur permettant de se soigner dans des centres de santé modernes avec des équipements adéquats et aussi d’avoir de l’électricité et l’eau potable en permanence.
Réitérant sa réflexion de l’année dernière portant sur « le travail qui libère de la misère et de la servitude », le Président Faustin-Archange Touadéra a appelé ses concitoyens au travail en vue de la reconstruction de leur pays.
Pour conclure, il s’est engagé à restaurer un Etat de droit et a invité ses concitoyens à unir leurs forces pour reconstruire la Centrafrique, faute de quoi cette fête de l’indépendance n’aurait pas de sens pour les martyrs qui ont versé leur sang.
"Au moment où nous commémorons cette indépendance, l’un des éléments essentiels de cette souveraineté est gravement menacé, le territoire est envahi par des mercenaires étrangers, qui se disputent le contrôle de nos ressources naturelles", a-t-il martelé, réaffirmant sa "ferme volonté de travailler pour reconquérir cet élément de souveraineté".
Faustin Archange Touadéra a salué la mise en place d’un plan de relèvement économique dont les revues à mi-parcours démontrent que le pays avance en dépit de quelques insuffisances qu’il faudrait rapidement corriger.
Au plan politique, le locataire du Palais de la Renaissance a réaffirmé sa volonté de maintenir le dialogue avec les groupes armés, malgré la gravité de la situation et la légitimité des attentes de ses compatriotes, expliquant que "la guerre n'a jamais imposé la paix" et que les contradictions doivent être réglées par le dialogue.
Il a par conséquent invité les différents groupes armés à adhérer de bonne foi à l’initiative de paix de l’Union Africaine et respecter ce qui y aura été retenu.
"Je m'engage à appliquer tout arrangement qui sortira de cette dynamique, pourvu qu'il soit conforme à la Constitution et aux lois de la République", a-t-il promis.
Dans le domaine de la sécurité et des infrastructures, il a rappelé les différentes démarches menées grâce au concours de la communauté internationale en vue de réussir le grand désarmement, démobilisation, réinsertion et rapatriement (DDRR), condition sine qua non à la paix.
Il a également évoqué la question des progrès réalisés en matière de reconstruction des forces armées centrafricaines, de la justice, de la modernisation de l’administration centrafricaine, de l’emploi des jeunes.
Sur le plan social, le Président de la République a annoncé à ses compatriotes des projets en cours de réalisation leur permettant de se soigner dans des centres de santé modernes avec des équipements adéquats et aussi d’avoir de l’électricité et l’eau potable en permanence.
Réitérant sa réflexion de l’année dernière portant sur « le travail qui libère de la misère et de la servitude », le Président Faustin-Archange Touadéra a appelé ses concitoyens au travail en vue de la reconstruction de leur pays.
Pour conclure, il s’est engagé à restaurer un Etat de droit et a invité ses concitoyens à unir leurs forces pour reconstruire la Centrafrique, faute de quoi cette fête de l’indépendance n’aurait pas de sens pour les martyrs qui ont versé leur sang.
