
Le Président Faustin Archange Touadéra (g) et le Cardinal Dieudonné Nzapalaïnga, lors de la visite du chef de l'Etat à l'Archevêché de Bangui, mercredi 2 mai
L’intérêt de cette rencontre avec le Cardinal est d’adresser des condoléances à tous les fidèles, les parents qui ont été victimes de cette attaque qui a fait plusieurs morts et une cinquantaine de blessées.
« Quand nous avançons dans la paix, il y a toujours des ennemis de la paix qui sont à l’affût pour assouvir leur ambition machiavélique et qui continuent de semer la mort, la désolation au sein de la population », a déclaré le Chef de l’Etat.
« Aujourd’hui, nous sommes sur la droite ligne de la concorde nationale soutenue par la communauté internationale, le peuple centrafricain toutes les églises confondues », a ajouté Faustin Archange Touadéra.
«J’engage nos forces de défense et de sécurité et aussi la communauté internationale qui travaille à nos côtés de tout faire pour que les auteurs et leurs complices soient traduits devant la justice », a encore déclaré le président Touadéra.
Il a par ailleurs attiré l’attention de ses compatriotes centrafricains sur le fait que "ce ne sont pas tous les musulmans qui approuvent cet acte" et leur a demandé de ne pas céder à la manipulation et à l’instrumentalisation car ce conflit n’est pas confessionnel.
« chrétiens et musulmans, nous sommes un peuple, nous devons travailler dans l’amour, la main dans main afin de construire la République Centrafricaine", a pour sa part affirmé le Cardinal Dieudonné Nzalaïnga, qui a demandé aux autorités de protéger les personnes et leurs biens.
Le Cardinal Nzapalaïnga a rappelé que cette crise n’est pas confessionnelle, tout en exhortant les deux communautés à être vigilantes afin de ne pas tomber dans le piège de l’instrumentalisation et de la manipulation.
Dans la suite des réactions à l'attaque de la paroisse de Fatima, mardi 1er mai, qui a fait plusieurs morts et blessés, le ministre de la Santé publique, Pierre Somsé, a exhorté la population à lever les barricades pour permettre aux ambulances et aux personnels de santé de porter assistance aux blessés graves desdits évènements, bloqués au Centre Henri Dunant, du Kilomètre 5.
« Quand nous avançons dans la paix, il y a toujours des ennemis de la paix qui sont à l’affût pour assouvir leur ambition machiavélique et qui continuent de semer la mort, la désolation au sein de la population », a déclaré le Chef de l’Etat.
« Aujourd’hui, nous sommes sur la droite ligne de la concorde nationale soutenue par la communauté internationale, le peuple centrafricain toutes les églises confondues », a ajouté Faustin Archange Touadéra.
«J’engage nos forces de défense et de sécurité et aussi la communauté internationale qui travaille à nos côtés de tout faire pour que les auteurs et leurs complices soient traduits devant la justice », a encore déclaré le président Touadéra.
Il a par ailleurs attiré l’attention de ses compatriotes centrafricains sur le fait que "ce ne sont pas tous les musulmans qui approuvent cet acte" et leur a demandé de ne pas céder à la manipulation et à l’instrumentalisation car ce conflit n’est pas confessionnel.
« chrétiens et musulmans, nous sommes un peuple, nous devons travailler dans l’amour, la main dans main afin de construire la République Centrafricaine", a pour sa part affirmé le Cardinal Dieudonné Nzalaïnga, qui a demandé aux autorités de protéger les personnes et leurs biens.
Le Cardinal Nzapalaïnga a rappelé que cette crise n’est pas confessionnelle, tout en exhortant les deux communautés à être vigilantes afin de ne pas tomber dans le piège de l’instrumentalisation et de la manipulation.
Dans la suite des réactions à l'attaque de la paroisse de Fatima, mardi 1er mai, qui a fait plusieurs morts et blessés, le ministre de la Santé publique, Pierre Somsé, a exhorté la population à lever les barricades pour permettre aux ambulances et aux personnels de santé de porter assistance aux blessés graves desdits évènements, bloqués au Centre Henri Dunant, du Kilomètre 5.