Organisée par le Comité de Suivi des Accords Politiques de Libreville du 11 janvier 2013 et du suivi des recommandations du sommet de Ndjamena le du mars 2013, cet atelier a pour objectif de procéder à l’examen minutieux du projet de texte de la charte de transition par des experts nationaux et internationaux en vue de son enrichissement dans le souci de doter la République Centrafricaine d’un acte transitionnel novateur consensuel.
En réceptionnant le projet de ce texte émanent du Conseil National de Transition, a déclaré le Premier Ministre Me Nicolas Tiangaye, « j’ai voulu que cet exercice soit le produit d’un large consensus dépassant les individualités. Ce mode de gouvernance sera que possible mon leitmotiv pendant toute la durée de la transition. »
« Le consensus auquel je m’attache et sur lequel je fonde mon action relève de la démocratie participative », a martelé Me Nicolas Tiangaye.
Selon lui, l’obligation de doter la transition centrafricaine d’un cadre constitutionnel et institutionnel transitoire mieux adopté pour le pays est susceptible d’organiser la bonne gouvernance jusqu’aux prochaines élections démocratiques.
Quant au Représentant spécial du Président du Comité de suivi des accords sur la crise centrafricaine, le général Léonard Essongo, il a souhaité que la Charte Constitutionnelle de transition soit adoptée afin que la République Centrafricaine puisse être acceptée au prochain Sommet de l’Union Africaine qui se tiendra à Addis Abéba.
Cet atelier a regroupé les toutes les entités impliqués dans le processus de la transition. Pendant trois jours, ils vont améliorer le projet de texte au regard de leur différentes contributions.
En réceptionnant le projet de ce texte émanent du Conseil National de Transition, a déclaré le Premier Ministre Me Nicolas Tiangaye, « j’ai voulu que cet exercice soit le produit d’un large consensus dépassant les individualités. Ce mode de gouvernance sera que possible mon leitmotiv pendant toute la durée de la transition. »
« Le consensus auquel je m’attache et sur lequel je fonde mon action relève de la démocratie participative », a martelé Me Nicolas Tiangaye.
Selon lui, l’obligation de doter la transition centrafricaine d’un cadre constitutionnel et institutionnel transitoire mieux adopté pour le pays est susceptible d’organiser la bonne gouvernance jusqu’aux prochaines élections démocratiques.
Quant au Représentant spécial du Président du Comité de suivi des accords sur la crise centrafricaine, le général Léonard Essongo, il a souhaité que la Charte Constitutionnelle de transition soit adoptée afin que la République Centrafricaine puisse être acceptée au prochain Sommet de l’Union Africaine qui se tiendra à Addis Abéba.
Cet atelier a regroupé les toutes les entités impliqués dans le processus de la transition. Pendant trois jours, ils vont améliorer le projet de texte au regard de leur différentes contributions.