Aux dires du ministre Maurice Yondo, les principes de l’Etat de droit ne permettent pas que l’on ferme les yeux sur les agitations de nature à raviver inutilement la tension sociale comme le fait la Société Civile avec sa pétition.
Pour le Porte parole de la Présidence de la République, « au moment où tout le peuple centrafricain attend avec impatience le déploiement rapide des forces de la Mission Internationale de Soutien à la République Centrafricaine (MISCA) et l’activation du fonds fiduciaire mise en place par la Communauté Internationale afin de faire face aux urgences du pays notamment le paiement de salaire et autres, la société civile s’illustre à une pétition qui n’explique rien d’autre que sa volonté de jeter l’huile sur le feu ».
Il convient de rappeler que la Société civile avait lancé une pétition en vue d’obtenir au moins cinq cent mille signataires aux fins d’exiger aux autorités de la transition le retrait immédiat des éléments tchadiens des forces multinationales chargées du désarmement et de la sécurisation du pays, et solliciter , un appui technique et financier auprès de la communauté internationale pour la sécurisation et la pacification de la Centrafrique.
Selon Maître Marie Editth Douzima, une des leaders de la société civile ; les signataires de la présente pétition exigent entre autres aux autorités de la transition : le rétablissement des libertés fondamentales, l’arrêt immédiat des exactions notamment, les viols des mineurs et violences basées sur les femmes, des assassinats et meurtres, les actes de torture et les traitements cruels, les enlèvements, les arrestations arbitraires et séquestrations.
Elle a demandé le respect sans condition des dispositions de la charte constitutionnelle de transition, la poursuite des auteurs présumés des graves violations des droits humains dans un bref délai et la convocation urgente d’une concertation nationale de toutes les forces vives sur les graves questions que soulève la condition actuelle de la transition .
Pour le Porte parole de la Présidence de la République, « au moment où tout le peuple centrafricain attend avec impatience le déploiement rapide des forces de la Mission Internationale de Soutien à la République Centrafricaine (MISCA) et l’activation du fonds fiduciaire mise en place par la Communauté Internationale afin de faire face aux urgences du pays notamment le paiement de salaire et autres, la société civile s’illustre à une pétition qui n’explique rien d’autre que sa volonté de jeter l’huile sur le feu ».
Il convient de rappeler que la Société civile avait lancé une pétition en vue d’obtenir au moins cinq cent mille signataires aux fins d’exiger aux autorités de la transition le retrait immédiat des éléments tchadiens des forces multinationales chargées du désarmement et de la sécurisation du pays, et solliciter , un appui technique et financier auprès de la communauté internationale pour la sécurisation et la pacification de la Centrafrique.
Selon Maître Marie Editth Douzima, une des leaders de la société civile ; les signataires de la présente pétition exigent entre autres aux autorités de la transition : le rétablissement des libertés fondamentales, l’arrêt immédiat des exactions notamment, les viols des mineurs et violences basées sur les femmes, des assassinats et meurtres, les actes de torture et les traitements cruels, les enlèvements, les arrestations arbitraires et séquestrations.
Elle a demandé le respect sans condition des dispositions de la charte constitutionnelle de transition, la poursuite des auteurs présumés des graves violations des droits humains dans un bref délai et la convocation urgente d’une concertation nationale de toutes les forces vives sur les graves questions que soulève la condition actuelle de la transition .