POLITIQUE
Le ministre de l'Intérieur chargé de la Sécurité publique, Henri Wanzet Linguissara
Le ministre Henri Wanzet Linguissara a indiqué que tous les porteurs d’armes du Km 5 qui vont se comporter en hors-la-loi seraient traités comme tels.
Il a invité la population du km 5 et les différents responsables, notamment les présidents du Comité des Sages, du Comité Islamique, les Imams et les maires de soutenir les forces de défense et de sécurité pour traquer les ennemis de la paix qui veulent que les armes crépitent toujours au km 5.
Certains responsables des forces d’auto-défense du Km5 sont des anciens éléments des Forces Armées Centrafricaines (FACA), a-t-il précisé.
« Le gouvernement a mis tous les moyens à la disposition du département en charge de la Sécurité Publique en vue d’éradiquer ce fléau et cela est en train de se réaliser car il doit prendre ses responsabilités pour ramener la paix dans cet arrondissement », a soutenu le membre du gouvernement.
Il a par ailleurs indiqué que les actes de violence qui se sont produits dans la nuit du 22 février ont fait trois à quatre morts et cela ne doit pas continuer.
Il convient de noter que le braquage d’une motocyclette et des intérêts économiques sont à l’origine des accrochages entre deux groupes rivaux.
Il a invité la population du km 5 et les différents responsables, notamment les présidents du Comité des Sages, du Comité Islamique, les Imams et les maires de soutenir les forces de défense et de sécurité pour traquer les ennemis de la paix qui veulent que les armes crépitent toujours au km 5.
Certains responsables des forces d’auto-défense du Km5 sont des anciens éléments des Forces Armées Centrafricaines (FACA), a-t-il précisé.
« Le gouvernement a mis tous les moyens à la disposition du département en charge de la Sécurité Publique en vue d’éradiquer ce fléau et cela est en train de se réaliser car il doit prendre ses responsabilités pour ramener la paix dans cet arrondissement », a soutenu le membre du gouvernement.
Il a par ailleurs indiqué que les actes de violence qui se sont produits dans la nuit du 22 février ont fait trois à quatre morts et cela ne doit pas continuer.
Il convient de noter que le braquage d’une motocyclette et des intérêts économiques sont à l’origine des accrochages entre deux groupes rivaux.
