POLITIQUE
Bangui 4 sept. (ACAP)- Le ministre de la Sécurité, de l’Immigration, Emigration et de l’Ordre Public, Josué Binoua a demandé aux éléments de séléka qui se promènent avec des armes en dehors des camps indiqués de les déposer à la Brigade de sécurité et d’intervention de la gendarmerie commandée par le Colonel Narkoyo, dans une déclaration, mercredi 4 septembre 2013 à Bangui.
L’objectif recherché par cette opération est de stopper la « recrudescence inacceptable des braquages, des vols de véhicules, des viols et autres assassinats dans la ville de Bangui et dans les 16 préfectures de la République Centrafricaine ».
Le Ministre Binoua somme tout citoyen centrafricain ou étranger vivant sur le territoire de la République Centrafricaine qu’il n’a le droit de porter une arme s’il est autorisé par le ministère de l’Administration du territoire. Par ailleurs, tous les éléments de séléka qui déambulent avec des armes doivent être cantonnés dans les six sites autorisés à savoir, le Camp Béal, le camp Kassaî, le BSS, le Camp des sapeurs-pompiers, le camp Amphibie et le BIT 1.
Notez que cette opération de désarmement du Ministère de la Sécurité attendue par toute la population exaspérée par des exactions quotidiennes est autorisée par le Président de la République et dirigée par le Général Moussa, assisté du Général Ibrahim de l’Etat-major des Armées, du général Issa de l’Etat-major des ex-combattants séléka, du général Arda de la sécurité présidentielle, qui viennent tous en appui à la gendarmerie et à la police Centrafricaine.
Le ministre de la Sécurité conclue en disant que : « tous ceux qui tenteront de s’opposer à cette opération seront considérés comme des déstabilisateurs du pouvoir de la nation ».
L’objectif recherché par cette opération est de stopper la « recrudescence inacceptable des braquages, des vols de véhicules, des viols et autres assassinats dans la ville de Bangui et dans les 16 préfectures de la République Centrafricaine ».
Le Ministre Binoua somme tout citoyen centrafricain ou étranger vivant sur le territoire de la République Centrafricaine qu’il n’a le droit de porter une arme s’il est autorisé par le ministère de l’Administration du territoire. Par ailleurs, tous les éléments de séléka qui déambulent avec des armes doivent être cantonnés dans les six sites autorisés à savoir, le Camp Béal, le camp Kassaî, le BSS, le Camp des sapeurs-pompiers, le camp Amphibie et le BIT 1.
Notez que cette opération de désarmement du Ministère de la Sécurité attendue par toute la population exaspérée par des exactions quotidiennes est autorisée par le Président de la République et dirigée par le Général Moussa, assisté du Général Ibrahim de l’Etat-major des Armées, du général Issa de l’Etat-major des ex-combattants séléka, du général Arda de la sécurité présidentielle, qui viennent tous en appui à la gendarmerie et à la police Centrafricaine.
Le ministre de la Sécurité conclue en disant que : « tous ceux qui tenteront de s’opposer à cette opération seront considérés comme des déstabilisateurs du pouvoir de la nation ».
