Cette conférence de presse a permis au membre du gouvernement et leader du parti politique le Mouvement Démocratique pour la Renaissance et l’Evolution de Centrafrique (MDREC) d’insister sur le risque encouru à cause des multiples reports du programme avicole dont le lancement avait été prévu pour le 1 avril mais qui, une fois de plus, est reporté pour le 1 juillet prochain.
Joseph Bendounga a pensé que ce programme pourrait connaître un autre couac si la sécurité n’est pas imposée de force, car a-t-il renchéri, « la Séléka a la mainmise sur la filière viande/bovin de la République Centrafricaine et qu’au sein du gouvernement, il n’est pas parvenu à décanter la situation ».
En sa qualité de membre du gouvernement, Joseph Bendounga sait que la « sécurité revient à très petit pas ». Cependant, il regrette que tout dans le secteur de l’élevage « est complètement pillé par les éléments de la Séléka et que la filière même de l’élevage est restée sous le contrôle total des Tchadiens et Soudanais arabophones de la Séléka sur toute l’étendue du territoire national ».
Pour lui donc, ces éléments de la Séléka « empêchent et menacent de mort les cadres du département dont il a la charge, ceux de la Société de Gestion des Abattoirs (SEGA), ceux du l’Agence Nationale de Développement de l’Elevage (ANDE), enfin, ceux de la Fédération Nationale des Eleveurs Centrafricains (FNEC) ainsi que des organisations professionnelles.
Le Ministre de l’Elevage a constaté avec regret que « ce sont encore les éléments de la Séléka qui perçoivent directement les droits et taxes de la filière pour leurs propres comptes et ceux de leurs chefs ».
Il les incrimine encore par rapport au « pillage systématique des véhicules du parc du département ainsi que les camions bétaillères, sans compter les automobiles des organismes connexes, notamment les projets en cours d’exécution ».
En conclusion, le Ministre Bendounga s’est réjoui de ce que les Chefs d’Etat des pays membres de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC) aient décidé de l’envoi à Bangui de quelque 2.000 hommes dans le cadre de la Force Multinationale d’Afrique Centrale (FOMAC) pour rétablir la sécurité et la paix à Bangui et dans les villes intérieures du pays.
Cette conférence de presse a permis au membre du gouvernement et leader du parti politique le Mouvement Démocratique pour la Renaissance et l’Evolution de Centrafrique (MDREC) d’insister sur le risque encouru à cause des multiples reports du programme avicole dont le lancement avait été prévu pour le 1 avril mais qui, une fois de plus, est reporté pour le 1 juillet prochain.
Joseph Bendounga a pensé que ce programme pourrait connaître un autre couac si la sécurité n’est pas imposée de force, car a-t-il renchéri, « la Séléka a la mainmise sur la filière viande/bovin de la République Centrafricaine et qu’au sein du gouvernement, il n’est pas parvenu à décanter la situation ».
En sa qualité de membre du gouvernement, Joseph Bendounga sait que la « sécurité revient à très petit pas ». Cependant, il regrette que tout dans le secteur de l’élevage « est complètement pillé par les éléments de la Séléka et que la filière même de l’élevage est restée sous le contrôle total des Tchadiens et Soudanais arabophones de la Séléka sur toute l’étendue du territoire national ».
Pour lui donc, ces éléments de la Séléka « empêchent et menacent de mort les cadres du département dont il a la charge, ceux de la Société de Gestion des Abattoirs (SEGA), ceux du l’Agence Nationale de Développement de l’Elevage (ANDE), enfin, ceux de la Fédération Nationale des Eleveurs Centrafricains (FNEC) ainsi que des organisations professionnelles.
Le Ministre de l’Elevage a constaté avec regret que « ce sont encore les éléments de la Séléka qui perçoivent directement les droits et taxes de la filière pour leurs propres comptes et ceux de leurs chefs ».
Il les incrimine encore par rapport au « pillage systématique des véhicules du parc du département ainsi que les camions bétaillères, sans compter les automobiles des organismes connexes, notamment les projets en cours d’exécution ».
En conclusion, le Ministre Bendounga s’est réjoui de ce que les Chefs d’Etat des pays membres de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC) aient décidé de l’envoi à Bangui de quelque 2.000 hommes dans le cadre de la Force Multinationale d’Afrique Centrale (FOMAC) pour rétablir la sécurité et la paix à Bangui et dans les villes intérieures du pays.
Joseph Bendounga a pensé que ce programme pourrait connaître un autre couac si la sécurité n’est pas imposée de force, car a-t-il renchéri, « la Séléka a la mainmise sur la filière viande/bovin de la République Centrafricaine et qu’au sein du gouvernement, il n’est pas parvenu à décanter la situation ».
En sa qualité de membre du gouvernement, Joseph Bendounga sait que la « sécurité revient à très petit pas ». Cependant, il regrette que tout dans le secteur de l’élevage « est complètement pillé par les éléments de la Séléka et que la filière même de l’élevage est restée sous le contrôle total des Tchadiens et Soudanais arabophones de la Séléka sur toute l’étendue du territoire national ».
Pour lui donc, ces éléments de la Séléka « empêchent et menacent de mort les cadres du département dont il a la charge, ceux de la Société de Gestion des Abattoirs (SEGA), ceux du l’Agence Nationale de Développement de l’Elevage (ANDE), enfin, ceux de la Fédération Nationale des Eleveurs Centrafricains (FNEC) ainsi que des organisations professionnelles.
Le Ministre de l’Elevage a constaté avec regret que « ce sont encore les éléments de la Séléka qui perçoivent directement les droits et taxes de la filière pour leurs propres comptes et ceux de leurs chefs ».
Il les incrimine encore par rapport au « pillage systématique des véhicules du parc du département ainsi que les camions bétaillères, sans compter les automobiles des organismes connexes, notamment les projets en cours d’exécution ».
En conclusion, le Ministre Bendounga s’est réjoui de ce que les Chefs d’Etat des pays membres de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC) aient décidé de l’envoi à Bangui de quelque 2.000 hommes dans le cadre de la Force Multinationale d’Afrique Centrale (FOMAC) pour rétablir la sécurité et la paix à Bangui et dans les villes intérieures du pays.
Cette conférence de presse a permis au membre du gouvernement et leader du parti politique le Mouvement Démocratique pour la Renaissance et l’Evolution de Centrafrique (MDREC) d’insister sur le risque encouru à cause des multiples reports du programme avicole dont le lancement avait été prévu pour le 1 avril mais qui, une fois de plus, est reporté pour le 1 juillet prochain.
Joseph Bendounga a pensé que ce programme pourrait connaître un autre couac si la sécurité n’est pas imposée de force, car a-t-il renchéri, « la Séléka a la mainmise sur la filière viande/bovin de la République Centrafricaine et qu’au sein du gouvernement, il n’est pas parvenu à décanter la situation ».
En sa qualité de membre du gouvernement, Joseph Bendounga sait que la « sécurité revient à très petit pas ». Cependant, il regrette que tout dans le secteur de l’élevage « est complètement pillé par les éléments de la Séléka et que la filière même de l’élevage est restée sous le contrôle total des Tchadiens et Soudanais arabophones de la Séléka sur toute l’étendue du territoire national ».
Pour lui donc, ces éléments de la Séléka « empêchent et menacent de mort les cadres du département dont il a la charge, ceux de la Société de Gestion des Abattoirs (SEGA), ceux du l’Agence Nationale de Développement de l’Elevage (ANDE), enfin, ceux de la Fédération Nationale des Eleveurs Centrafricains (FNEC) ainsi que des organisations professionnelles.
Le Ministre de l’Elevage a constaté avec regret que « ce sont encore les éléments de la Séléka qui perçoivent directement les droits et taxes de la filière pour leurs propres comptes et ceux de leurs chefs ».
Il les incrimine encore par rapport au « pillage systématique des véhicules du parc du département ainsi que les camions bétaillères, sans compter les automobiles des organismes connexes, notamment les projets en cours d’exécution ».
En conclusion, le Ministre Bendounga s’est réjoui de ce que les Chefs d’Etat des pays membres de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC) aient décidé de l’envoi à Bangui de quelque 2.000 hommes dans le cadre de la Force Multinationale d’Afrique Centrale (FOMAC) pour rétablir la sécurité et la paix à Bangui et dans les villes intérieures du pays.