Le but de cette conférence de presse est non seulement d’exprimer l’indignation du Médecin sans Frontière (MSF) suite aux tueries de Boguila, mais également de réévaluer les conditions de travail de ses équipes et l’impact potentiel sur ses activités médicales.
Face à cette insécurité le Directeur général Arjan Hehenkamp, a demandé au gouvernement de Transition appuyé par les forces militaires internationales d’honorer leurs engagements pris en matière de protection des populations civiles qui en ont le plus besoin.
Il a également demandé aux groupes armés du pays de prendre leur responsabilité envers les populations vivant dans les territoires sous leur contrôle, et de s’engager publiquement à encadrer leurs troupes et respecter les civiles et les travailleurs humanitaires.
« MSF est consternée que le gouvernement de transition de la République Centrafricaine et les représentants des groupes armés n’aient pas largement et fermement condamné le massacre de Boguila et les actes similaires ayant eu lieu dans l’ensemble du pays. Alors qu’il leur revient d’assumer leur responsabilité et prendre position face à ces actes », a regretté M. Arjan Hehenkamp
Pour M. Arjan Hehenkamp, « nous restons déterminés à apporter la population centrafricaine l’assistance médicale dont elle a besoin, dans un contexte de grand dénuement sanitaire, mais les différents acteurs doivent aussi assumer les responsabilités qu’ils revendique ».
Il a rappelé qu’au cours des 18 derniers mois, les membres de MSF ont été régulièrement victimes de nombreux actes de violence, parmi lesquels la moitié est survenue dans la préfecture de l’Ouham où se situe Boguila, les employés du ministère de la Santé ainsi que d’autres organisations humanitaires internationales ont également été attaqués à plusieurs reprises sur l’ensemble du territoire.
Depuis plus d’un an, les civils pris au piège du conflit continuent de souffrir d’un niveau extrême de violence, de déplacements forcés et une crise et d’une crise sanitaire sans sanitaire sans précédent, dans l’indifférence de la communauté internationale et des forces de maintien de la paix déployés aujourd’hui en RCA, a déploré le Directeur général du MSF.
Face à cette insécurité le Directeur général Arjan Hehenkamp, a demandé au gouvernement de Transition appuyé par les forces militaires internationales d’honorer leurs engagements pris en matière de protection des populations civiles qui en ont le plus besoin.
Il a également demandé aux groupes armés du pays de prendre leur responsabilité envers les populations vivant dans les territoires sous leur contrôle, et de s’engager publiquement à encadrer leurs troupes et respecter les civiles et les travailleurs humanitaires.
« MSF est consternée que le gouvernement de transition de la République Centrafricaine et les représentants des groupes armés n’aient pas largement et fermement condamné le massacre de Boguila et les actes similaires ayant eu lieu dans l’ensemble du pays. Alors qu’il leur revient d’assumer leur responsabilité et prendre position face à ces actes », a regretté M. Arjan Hehenkamp
Pour M. Arjan Hehenkamp, « nous restons déterminés à apporter la population centrafricaine l’assistance médicale dont elle a besoin, dans un contexte de grand dénuement sanitaire, mais les différents acteurs doivent aussi assumer les responsabilités qu’ils revendique ».
Il a rappelé qu’au cours des 18 derniers mois, les membres de MSF ont été régulièrement victimes de nombreux actes de violence, parmi lesquels la moitié est survenue dans la préfecture de l’Ouham où se situe Boguila, les employés du ministère de la Santé ainsi que d’autres organisations humanitaires internationales ont également été attaqués à plusieurs reprises sur l’ensemble du territoire.
Depuis plus d’un an, les civils pris au piège du conflit continuent de souffrir d’un niveau extrême de violence, de déplacements forcés et une crise et d’une crise sanitaire sans sanitaire sans précédent, dans l’indifférence de la communauté internationale et des forces de maintien de la paix déployés aujourd’hui en RCA, a déploré le Directeur général du MSF.