POLITIQUE
Cette thématique a pour but de montrer aux conseillers économiques et sociaux, la mission assignée à SOCASP et aussi l’implication de cette dernière dans la résolution de crise d’hydrocarbure en République Centrafricaine.
Le Directeur général de SOCASP a précisé aux conseillers que la SOCAPS est une société qui joue le rôle d’une sentinelle, parce que c’est elle qui assure le stockage des produits pétroliers et dérivés importés par les différents marketeurs tout en assurant la distribution de carburants dans les stations-service.
Revenant par ailleurs sur la question de pénuries de carburants, le responsable de la SOCASP a fait savoir que ces pénuries sont les résultantes directes des infrastructures dédiées au stockage des produits pétroliers, c’est-à-dire la capacité du dépôt de stockage est insignifiante pour la consommation de la Capitale Bangui d’où la nécessité d’augmenter la capacité de stockage du dépôt de Kolongo de 80 à 100.000 m3.
Ernest Bata, a souligné quelques défis à relever en vue de palier aux éventuelles pénuries entre autres la création d’une société d’importation des produits pétroliers, importation des produits pétroliers par l’Etat ou un Partenariat Public Privé (PPP) avec un partenaire crédible pour constituer le stock de sécurité…
Au cours de ces échanges avec les conseillers, le DG de SOCASP en a profité pour présenter les quatre importants projets de la société notamment l’importation des produits pour constituer le stock de sécurité, la construction de deux (2) bacs de grandes capacités supplémentaires, la réhabilitation du centre gaz et la construction de deux (2) dépôts secondaires pour le désengorgement du pays.
Le Directeur général a par ailleurs exhorté les conseillers à sensibiliser les opérateurs économiques centrafricains à s’investir dans ledit secteur qui est un secteur prometteur et bénéfique pour le développement de la République centrafricaine.
Il sied de préciser que la société centrafricaine de stockage des produits pétroliers est la seule société œuvrant dans le sous-secteur pétrolier aval, qui a pour capital de 100.000.000F FCA reparti comme suit : Etat centrafricain détient plus de 50 %, TOTAL Centrafrique a plus de 20 %, TRADEX Centrafrique ayant plus de 10 % et les entreprises privées ont moins de dix pour cent.
Le Directeur général de SOCASP a précisé aux conseillers que la SOCAPS est une société qui joue le rôle d’une sentinelle, parce que c’est elle qui assure le stockage des produits pétroliers et dérivés importés par les différents marketeurs tout en assurant la distribution de carburants dans les stations-service.
Revenant par ailleurs sur la question de pénuries de carburants, le responsable de la SOCASP a fait savoir que ces pénuries sont les résultantes directes des infrastructures dédiées au stockage des produits pétroliers, c’est-à-dire la capacité du dépôt de stockage est insignifiante pour la consommation de la Capitale Bangui d’où la nécessité d’augmenter la capacité de stockage du dépôt de Kolongo de 80 à 100.000 m3.
Ernest Bata, a souligné quelques défis à relever en vue de palier aux éventuelles pénuries entre autres la création d’une société d’importation des produits pétroliers, importation des produits pétroliers par l’Etat ou un Partenariat Public Privé (PPP) avec un partenaire crédible pour constituer le stock de sécurité…
Au cours de ces échanges avec les conseillers, le DG de SOCASP en a profité pour présenter les quatre importants projets de la société notamment l’importation des produits pour constituer le stock de sécurité, la construction de deux (2) bacs de grandes capacités supplémentaires, la réhabilitation du centre gaz et la construction de deux (2) dépôts secondaires pour le désengorgement du pays.
Le Directeur général a par ailleurs exhorté les conseillers à sensibiliser les opérateurs économiques centrafricains à s’investir dans ledit secteur qui est un secteur prometteur et bénéfique pour le développement de la République centrafricaine.
Il sied de préciser que la société centrafricaine de stockage des produits pétroliers est la seule société œuvrant dans le sous-secteur pétrolier aval, qui a pour capital de 100.000.000F FCA reparti comme suit : Etat centrafricain détient plus de 50 %, TOTAL Centrafrique a plus de 20 %, TRADEX Centrafrique ayant plus de 10 % et les entreprises privées ont moins de dix pour cent.
