POLITIQUE
Le Premier-Ministre Simplice-Mathieu Sarandji a invité les bailleurs de fonds à soutenir le plan de réponse humanitaire 2018 en République Centrafricaine estimé à 516, 6 millions de dollars américains, soit 275, 7 milliards de francs CFA.
Il les a remerciés pour leur contribution au financement du plan de réponse humanitaire 2017 qui avait permis de sauver des vies humaines.
Selon lui, les donateurs doivent être plus généreux qu’avant à cause des nouveaux besoins dus à la recrudescence de violences ayant occasionné de nouveaux déplacés et réfugiés.
La Représentante spéciale adjointe du Secrétaire général des Nations-Unies, coordonnatrice résidente humanitaire en Centrafrique, Najat Rochdi, a souligné qu’en raison des violences perpétrées par les groupes armés, plus d’un centrafricain sur quatre est soit un déplacé interne, soit un réfugié.
Elle a fait savoir qu’en un an, le nombre de personnes déplacées internes a augmenté de plus de 70% depuis le premier trimestre de 2017, faisant de sorte qu’en 2018, 2.5 millions de centrafricains auront besoin d’une assistance humanitaire.
Elle a aussi fait appel à la générosité des donateurs de manière à permettre au gouvernement centrafricain et aux humanitaires de faire face aux besoins humanitaires dans les nouveaux foyers de tension, notamment à Paoua, Bria, voire Bangassou et autres.
Le Chef du Bureau de coordination des Affaires humanitaires, Joseph Inganji, qui a présenté la situation pathétique de la situation humanitaire en Centrafrique a noté que c’est seulement 1.9 million de personnes qui sont ciblées par ce plan.
D’après lui, si rien n’est fait d’ici là, il ne sait pas quel serait le sort des 60 000 milles personnes qui eux aussi ont besoin d’être prises en charge par les humanitaires.
Il convient de rappeler qu’une minute de silence a été observée en la mémoire des humanitaires tombés en République Centrafricaine.
Il les a remerciés pour leur contribution au financement du plan de réponse humanitaire 2017 qui avait permis de sauver des vies humaines.
Selon lui, les donateurs doivent être plus généreux qu’avant à cause des nouveaux besoins dus à la recrudescence de violences ayant occasionné de nouveaux déplacés et réfugiés.
La Représentante spéciale adjointe du Secrétaire général des Nations-Unies, coordonnatrice résidente humanitaire en Centrafrique, Najat Rochdi, a souligné qu’en raison des violences perpétrées par les groupes armés, plus d’un centrafricain sur quatre est soit un déplacé interne, soit un réfugié.
Elle a fait savoir qu’en un an, le nombre de personnes déplacées internes a augmenté de plus de 70% depuis le premier trimestre de 2017, faisant de sorte qu’en 2018, 2.5 millions de centrafricains auront besoin d’une assistance humanitaire.
Elle a aussi fait appel à la générosité des donateurs de manière à permettre au gouvernement centrafricain et aux humanitaires de faire face aux besoins humanitaires dans les nouveaux foyers de tension, notamment à Paoua, Bria, voire Bangassou et autres.
Le Chef du Bureau de coordination des Affaires humanitaires, Joseph Inganji, qui a présenté la situation pathétique de la situation humanitaire en Centrafrique a noté que c’est seulement 1.9 million de personnes qui sont ciblées par ce plan.
D’après lui, si rien n’est fait d’ici là, il ne sait pas quel serait le sort des 60 000 milles personnes qui eux aussi ont besoin d’être prises en charge par les humanitaires.
Il convient de rappeler qu’une minute de silence a été observée en la mémoire des humanitaires tombés en République Centrafricaine.
