Le but de ce projet est d’améliorer la situation sécuritaire et la résilience des communautés par la réintégration socio-économique de la jeunesse désœuvrée à risque, d’être impliquée dans la violence et appuyer la réintégration socioéconomique de la jeunesse désœuvrée par des formations professionnelles et des activités génératrices de revenus.
La ministre Virginie Mbaïkoua a expliqué que le président de la République est en train de mettre en œuvre le Plan de Relèvement et de Consolidation de la Paix (RCPCA) pour la période 2017-2021 en vue de permettre aux Centrafricains de mener une vie décente.
Ce projet touchera plus d’une dizaine de milliers de personnes et des jeunes des localités identifiées, a-t-elle souligné.
Pour la cheffe de Délégation de l’Union Européenne, Samuela Isopi, ce projet d’un montant de 10 milliards de francs CFA vise un objectif clair et a pour but de briser le cercle vicieux de la pauvreté et de l’enrôlement dans les groupes armés pour au moins 12 000 jeunes dont 40% de jeunes filles dans les préfectures de l’Ouham-Pendé, la Kémo et la Gribizi.
Elle a indiqué compter sur l’appui du gouvernement et des députés des zones concernées pour sensibiliser les jeunes et les bénéficiaires afin d'aider ce projet à aller de l’avant.
Il est à noter que ce projet sera mis en œuvre par l’Organisation Internationale des migrations (OIM) sur financement de l’Union Européenne à travers l’instrument pour la consolidation de la stabilité et la paix (ICSP).
La ministre Virginie Mbaïkoua a expliqué que le président de la République est en train de mettre en œuvre le Plan de Relèvement et de Consolidation de la Paix (RCPCA) pour la période 2017-2021 en vue de permettre aux Centrafricains de mener une vie décente.
Ce projet touchera plus d’une dizaine de milliers de personnes et des jeunes des localités identifiées, a-t-elle souligné.
Pour la cheffe de Délégation de l’Union Européenne, Samuela Isopi, ce projet d’un montant de 10 milliards de francs CFA vise un objectif clair et a pour but de briser le cercle vicieux de la pauvreté et de l’enrôlement dans les groupes armés pour au moins 12 000 jeunes dont 40% de jeunes filles dans les préfectures de l’Ouham-Pendé, la Kémo et la Gribizi.
Elle a indiqué compter sur l’appui du gouvernement et des députés des zones concernées pour sensibiliser les jeunes et les bénéficiaires afin d'aider ce projet à aller de l’avant.
Il est à noter que ce projet sera mis en œuvre par l’Organisation Internationale des migrations (OIM) sur financement de l’Union Européenne à travers l’instrument pour la consolidation de la stabilité et la paix (ICSP).