POLITIQUE
Le projet vise à améliorer les capacités de planification énergétique et à la réalisation de 57.000 branchements sociaux, à l’échelle de la sous région de la Cemac en se fondant sur
le système d’information géographique (Sig), pouvant permettre de dégager les priorités d’investissements dans le domaine hydroélectrique.
Pour M. Esmieu, ce projet permet de « rationaliser » l’utilisation de l’énergie pour le bénéfice de la sous région et constitue un début de solution pour la plupart des pays de la Cemac qui souffrent de problèmes d’électricité.
« L’énergie constitue un élément essentiel de la vie et une composante indispensable du développement, en tant que facteur de production dont le coût affecte directement les prix des biens et des services, ainsi que la compétitivité des entreprises », a pour sa part fait remarquer M. Bernard Zoba.
Il a indiqué que le taux global d’électrification des ménages dans la sous région est inférieur à 15 %, alors que les pays membres de la Cemac disposent d’énormes ressources énergétiques renouvelables.
« Ces activités s’inscrivent parfaitement dans la vision élaborée à savoir, faire de la Cémac, un espace économique intégré émergent, où règne la sécurité, la solidarité et la bonne gouvernance, au service du développement humain, », a conclu M. Zoba.
Il convient de noter que ce projet est financé par l’Union Européenne à hauteur de 13 milliards Fcfa. Il concerne cinq pays de la Cemac, notamment le Cameroun, la Centrafrique, le Gabon, le Congo et le Tchad, et devrait être exécuté sur quatre ans.
Signalons que la cérémonie de lancement dudit projet s’est déroulée en présence du ministre d’Etat aux Mines, à l’énergie et à l’hydraulique, le Lieutenant colonel Sylvain Ndoutingaï.
le système d’information géographique (Sig), pouvant permettre de dégager les priorités d’investissements dans le domaine hydroélectrique.
Pour M. Esmieu, ce projet permet de « rationaliser » l’utilisation de l’énergie pour le bénéfice de la sous région et constitue un début de solution pour la plupart des pays de la Cemac qui souffrent de problèmes d’électricité.
« L’énergie constitue un élément essentiel de la vie et une composante indispensable du développement, en tant que facteur de production dont le coût affecte directement les prix des biens et des services, ainsi que la compétitivité des entreprises », a pour sa part fait remarquer M. Bernard Zoba.
Il a indiqué que le taux global d’électrification des ménages dans la sous région est inférieur à 15 %, alors que les pays membres de la Cemac disposent d’énormes ressources énergétiques renouvelables.
« Ces activités s’inscrivent parfaitement dans la vision élaborée à savoir, faire de la Cémac, un espace économique intégré émergent, où règne la sécurité, la solidarité et la bonne gouvernance, au service du développement humain, », a conclu M. Zoba.
Il convient de noter que ce projet est financé par l’Union Européenne à hauteur de 13 milliards Fcfa. Il concerne cinq pays de la Cemac, notamment le Cameroun, la Centrafrique, le Gabon, le Congo et le Tchad, et devrait être exécuté sur quatre ans.
Signalons que la cérémonie de lancement dudit projet s’est déroulée en présence du ministre d’Etat aux Mines, à l’énergie et à l’hydraulique, le Lieutenant colonel Sylvain Ndoutingaï.
