POLITIQUE
L’objectif de ce point de presse est d’établir le contact avec la presse nationale et internationale pour qu’ils soient le relais des activités que mène l’organisation en République Centrafricaine.
M. Jean Alexandre Scaglia a fait remarquer que l’agriculture en République Centrafricaine occupait plus de 80% de la population, lesquels y tirent l’essentiel ce leurs revenus. C’est pourquoi, a-t-il poursuivi, ce pays s’était positionné comme étant un grand pays exportateur de produits agricoles, qu’il s’agisse de la production vivrière ou de la culture de rente.
M. Jean Alexandre Scaglia a également mis l’accent sur le fait que l’agriculteur centrafricain est doté d’une potentialité énorme en ce sens qu’il est en même temps éleveur, pêcheur, chasseur, maraîcher, etc.
Malheureusement, avec la crise, le pays est redevenu grand importateur. Et cette nouvelle donne, selon M. Scaglia, a des répercussions à deux niveaux : les producteurs ont perdu leurs sources de revenus, et le pays est redevenu un grand importateur.
Tout comme les autorités nationales, le nouveau représentant de la FAO a pensé que le déploiement le 15 septembre prochain des forces de l’ONU sera une aubaine pour l’agriculture, dont les conséquences se feront sentir sur l’amélioration de la sécurité alimentaire. A condition justement que tout le monde milite pour la stabilité.
M. Jean Alexandre Scaglia est convaincu que le secteur agricole est un véritable pourvoyeur d’emplois et capable de générer des ressources financières susceptibles de d’améliorer la vie de la population.
Il est à noter que M. Scaglia est un routinier dans l’administration de l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture, puisqu’il y a servi plus de vingt cinq ans. Il a fait ses preuves au Libéria, au Rwanda, au Burundi, en Ethiopie et également dans des pays asiatiques, comme par exemple l’Inde. Il a dirigé des missions de la FAO en Thaïlande.
M. Jean Alexandre Scaglia a fait remarquer que l’agriculture en République Centrafricaine occupait plus de 80% de la population, lesquels y tirent l’essentiel ce leurs revenus. C’est pourquoi, a-t-il poursuivi, ce pays s’était positionné comme étant un grand pays exportateur de produits agricoles, qu’il s’agisse de la production vivrière ou de la culture de rente.
M. Jean Alexandre Scaglia a également mis l’accent sur le fait que l’agriculteur centrafricain est doté d’une potentialité énorme en ce sens qu’il est en même temps éleveur, pêcheur, chasseur, maraîcher, etc.
Malheureusement, avec la crise, le pays est redevenu grand importateur. Et cette nouvelle donne, selon M. Scaglia, a des répercussions à deux niveaux : les producteurs ont perdu leurs sources de revenus, et le pays est redevenu un grand importateur.
Tout comme les autorités nationales, le nouveau représentant de la FAO a pensé que le déploiement le 15 septembre prochain des forces de l’ONU sera une aubaine pour l’agriculture, dont les conséquences se feront sentir sur l’amélioration de la sécurité alimentaire. A condition justement que tout le monde milite pour la stabilité.
M. Jean Alexandre Scaglia est convaincu que le secteur agricole est un véritable pourvoyeur d’emplois et capable de générer des ressources financières susceptibles de d’améliorer la vie de la population.
Il est à noter que M. Scaglia est un routinier dans l’administration de l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture, puisqu’il y a servi plus de vingt cinq ans. Il a fait ses preuves au Libéria, au Rwanda, au Burundi, en Ethiopie et également dans des pays asiatiques, comme par exemple l’Inde. Il a dirigé des missions de la FAO en Thaïlande.
