POLITIQUE
Le ministre de la Communication, Cyriaque Gonda, ouvrant les travaux de l'atelier; Photo.ACAP/Biongo
Selon la coordonnatrice de la Progesco, Maitre Douzima, cet atelier vise à renforcer les capacités des participants sur le mécanisme de prévention et de gestion des conflits en Centrafrique.
Au cours de ces assises, il s’agira d'entretenir les représentants des ONG et associations œuvrant dans le cadre des droits de l’homme, sur des thèmes tels que la place de la a société civile de l’Afrique centrale dans la prévention et la gestion des conflits, les conflits en République Centrafricaine, états des lieux et acteurs de prévention et de gestion, le rôle de la société civile dans la construction de la paix.
« Cet atelier s’inscrit dans la droite ligne du processus actuel de résolution de conflits et de consolidation de la paix dans lequel s’investit le gouvernement centrafricain pour l’établissement de la sécurité, de la stabilité et du développement socioéconomique du pays », a déclaré Maitre Douzima.
Pour elle, « la société civile ne doit pas être considérée comme un adversaire des pouvoirs publics ni du gouvernement, mais doit jouer son rôle de baromètre de la vie sociale, économique et politique. »
« La société civile est un mécanisme qui permet aux populations de s’exprimer et de défendre leurs intérêts et de faire pression sur le gouvernement à adopter des mesures et des décisions allant dans le sens de l’intérêt des populations et du pays, conformément aux différents instruments juridiques internationaux en faveur de la paix, de la protection et de la défense des Droits humains, auxquels la Centrafrique a souscrit à travers des textes nationaux notamment la Constitution », a- t-elle expliqué.
« La gestion des conflits est aujourd’hui une question majeure pour la situation difficile que traverse notre pays. En effet, sans la paix durable, il n’y a pas de développement », a pour sa part relevé le ministre en charge de la Communication, du civisme, du dialogue et de la réconciliation nationale, M. Cyriaque Gonda.
Pour lui, la gestion des conflits constitue la condition sine qua non de la survie des peuples du monde. Car elle est fondée sur des valeurs telles que la tolérance, le partage, la générosité qui permettent l’unité nationale.
Il a enfin exhorté les organisations membres de Pregesco-RCA à s’impliquer davantage dans les activités de prévention et de gestion des conflits, en promouvant le dialogue, comme "l’unique mode de règlement des différends" pour la consolidation de la paix en Centrafrique.
Il faut rappeler que la Progesco a été créée en 2005 à l'initiative des pays de la Communauté Economique et Monétaire de l’Afrique Centrale (Cemac) et élargie à l’espace de la Communauté Economique des Etats d’Afrique Centrale (Ceeac).
La Pregesco bénéficie dans ses activités, de l’appui de l’Organisation des Nations Unies pour l’Education, la Science, et la Culture (Unesco) et de l’Union Européenne (UE). Les travaux de l'atelier en question devraient prendre le 5 novembre prochain.
Au cours de ces assises, il s’agira d'entretenir les représentants des ONG et associations œuvrant dans le cadre des droits de l’homme, sur des thèmes tels que la place de la a société civile de l’Afrique centrale dans la prévention et la gestion des conflits, les conflits en République Centrafricaine, états des lieux et acteurs de prévention et de gestion, le rôle de la société civile dans la construction de la paix.
« Cet atelier s’inscrit dans la droite ligne du processus actuel de résolution de conflits et de consolidation de la paix dans lequel s’investit le gouvernement centrafricain pour l’établissement de la sécurité, de la stabilité et du développement socioéconomique du pays », a déclaré Maitre Douzima.
Pour elle, « la société civile ne doit pas être considérée comme un adversaire des pouvoirs publics ni du gouvernement, mais doit jouer son rôle de baromètre de la vie sociale, économique et politique. »
« La société civile est un mécanisme qui permet aux populations de s’exprimer et de défendre leurs intérêts et de faire pression sur le gouvernement à adopter des mesures et des décisions allant dans le sens de l’intérêt des populations et du pays, conformément aux différents instruments juridiques internationaux en faveur de la paix, de la protection et de la défense des Droits humains, auxquels la Centrafrique a souscrit à travers des textes nationaux notamment la Constitution », a- t-elle expliqué.
« La gestion des conflits est aujourd’hui une question majeure pour la situation difficile que traverse notre pays. En effet, sans la paix durable, il n’y a pas de développement », a pour sa part relevé le ministre en charge de la Communication, du civisme, du dialogue et de la réconciliation nationale, M. Cyriaque Gonda.
Pour lui, la gestion des conflits constitue la condition sine qua non de la survie des peuples du monde. Car elle est fondée sur des valeurs telles que la tolérance, le partage, la générosité qui permettent l’unité nationale.
Il a enfin exhorté les organisations membres de Pregesco-RCA à s’impliquer davantage dans les activités de prévention et de gestion des conflits, en promouvant le dialogue, comme "l’unique mode de règlement des différends" pour la consolidation de la paix en Centrafrique.
Il faut rappeler que la Progesco a été créée en 2005 à l'initiative des pays de la Communauté Economique et Monétaire de l’Afrique Centrale (Cemac) et élargie à l’espace de la Communauté Economique des Etats d’Afrique Centrale (Ceeac).
La Pregesco bénéficie dans ses activités, de l’appui de l’Organisation des Nations Unies pour l’Education, la Science, et la Culture (Unesco) et de l’Union Européenne (UE). Les travaux de l'atelier en question devraient prendre le 5 novembre prochain.
