
Cet appel, résultant d’une mission d’évaluation des projets financés par le programme des petites subventions, est vise à soulager les souffrances des populations tant sur les plans sécuritaire, économique, sociale et sanitaire.
Aux dires de la directrice résidente du PNUD, « le constat est amer. Les bâtiments administratifs dans cette localité sont dévastés, vandalisés et pillés.
Toujours d’après elle, « la population est soumise à des formalités consistant à leur extorquer de l’argent sur les barrières illégales. Ces populations sont également victimes des traitements inhumains et dégradants lorsqu’elles ne parviennent pas à apporter faire face aux amendes imposées. Et cette situation a provoqué chez la population une psychose généralisée ».
Elle a fait état de « d’environ 200 maisons habitations brûlées à Bangassou, Raphaï et Ouango surtout qui est une localité inaccessible par la route.
Au regard de témoignages enregistrés sur place, les populations sont soumis aux traitements cruels tels que les coups et blessures, racket, intimidation, etc.
S’agissant de la mise en œuvre effective des activités du programme, elle a fait savoir que les membres des organisations bénéficiaires se sont appesantis sur les plantations de palmiers à huile, de colatiers et de tecks qui ont une incidence sur la valorisation des zones forestières dégradées autour de la forêt de Sandigui-Ngbanri (Forsangba) dans la commune de Sayo-Niakari.
Les points faibles de ce programme ont été analysés pour permettre de corriger la suite du programme.
Aux dires de la directrice résidente du PNUD, « le constat est amer. Les bâtiments administratifs dans cette localité sont dévastés, vandalisés et pillés.
Toujours d’après elle, « la population est soumise à des formalités consistant à leur extorquer de l’argent sur les barrières illégales. Ces populations sont également victimes des traitements inhumains et dégradants lorsqu’elles ne parviennent pas à apporter faire face aux amendes imposées. Et cette situation a provoqué chez la population une psychose généralisée ».
Elle a fait état de « d’environ 200 maisons habitations brûlées à Bangassou, Raphaï et Ouango surtout qui est une localité inaccessible par la route.
Au regard de témoignages enregistrés sur place, les populations sont soumis aux traitements cruels tels que les coups et blessures, racket, intimidation, etc.
S’agissant de la mise en œuvre effective des activités du programme, elle a fait savoir que les membres des organisations bénéficiaires se sont appesantis sur les plantations de palmiers à huile, de colatiers et de tecks qui ont une incidence sur la valorisation des zones forestières dégradées autour de la forêt de Sandigui-Ngbanri (Forsangba) dans la commune de Sayo-Niakari.
Les points faibles de ce programme ont été analysés pour permettre de corriger la suite du programme.