POLITIQUE
L’objectif de cette félicitation est d’inciter tous les cadres centrafricains à être vigilants durant l’exercice de leur travail.
Selon la Commissaire, le faussaire, dont l’identité est encore protégée, délivre des actes de naissance, des casiers judiciaires, des actes de décès, etc. qui sont de nature à faciliter la délivrance des pièces administratives authentiques, à l’exemple du passeport biométrique.
La puce a été mise à l’oreille, toujours d’après le Commissaire, à la suite de la constitution des pièces pour l’obtention du passeport le 3 août 2016 au bénéfice d’une fille qui serait née à Carnot, une localité située au sud-ouest de la République Centrafricaine. Après vérification, les pièces fournies étaient toute fausses.
Une stratégie a été mise en place faisant croire au faussaire que d’autres pièces sont commandées. Naïvement, il est tombé dans le piège.
Suivant les explications de la Commissaire, au moment de son interpellation, le faussaire détenait par devers lui des actes, en plus des pièces précitées, de nombreuses photos, dont celles des étrangers.
Pour se défendre, le faussaire accuse la lenteur administrative dans la délivrance des pièces administratives et que lui, dispose d’un réseau de relation lui permettant d’établir ces pièces en quelques heures.
D’un côté, la Compagnie nationale de sécurité se bat contre les stupéfiants. A plusieurs occasions, le Directeur de la Compagnie Nationale de Sécurité, Sim Joaki Danigoumandji a débusqué le réseau des vendeurs de chanvre indiens, de somnifères, des boissons dangereux en sachet mais interdites en République Centrafricaine, etc.
Les responsables de la sécurité publique appellent toujours les citoyens à dénoncer les malfaiteurs.
Selon la Commissaire, le faussaire, dont l’identité est encore protégée, délivre des actes de naissance, des casiers judiciaires, des actes de décès, etc. qui sont de nature à faciliter la délivrance des pièces administratives authentiques, à l’exemple du passeport biométrique.
La puce a été mise à l’oreille, toujours d’après le Commissaire, à la suite de la constitution des pièces pour l’obtention du passeport le 3 août 2016 au bénéfice d’une fille qui serait née à Carnot, une localité située au sud-ouest de la République Centrafricaine. Après vérification, les pièces fournies étaient toute fausses.
Une stratégie a été mise en place faisant croire au faussaire que d’autres pièces sont commandées. Naïvement, il est tombé dans le piège.
Suivant les explications de la Commissaire, au moment de son interpellation, le faussaire détenait par devers lui des actes, en plus des pièces précitées, de nombreuses photos, dont celles des étrangers.
Pour se défendre, le faussaire accuse la lenteur administrative dans la délivrance des pièces administratives et que lui, dispose d’un réseau de relation lui permettant d’établir ces pièces en quelques heures.
D’un côté, la Compagnie nationale de sécurité se bat contre les stupéfiants. A plusieurs occasions, le Directeur de la Compagnie Nationale de Sécurité, Sim Joaki Danigoumandji a débusqué le réseau des vendeurs de chanvre indiens, de somnifères, des boissons dangereux en sachet mais interdites en République Centrafricaine, etc.
Les responsables de la sécurité publique appellent toujours les citoyens à dénoncer les malfaiteurs.
