L’objectif de cette interview est de recueillir les impressions des Centrafricains qui ont cessé de célébrer la fête du 1er décembre il y a de cela trois années dominées par des crises politico-militaires.
Le député Lucien Mbaïgoto a étayé ses arguments en se référant aux mutineries en 1996-1997, les coups d’Etats de 2003 et 2013 sans mettre de côté les cas de multiples rebellions.
Il a souhaité que les Centrafricains aillent à cette fête avec l’esprit de paix et de réconciliation nationale.
Il a exhorté le gouvernement pour qu’il prenne ses responsabilités visant à assurer la sécurité sur toute l’étendue du territoire national, pour que la fête se déroule dans la fraternité, la paix et le revivre-ensemble.
Le député Lucien Mbaïgoto a étayé ses arguments en se référant aux mutineries en 1996-1997, les coups d’Etats de 2003 et 2013 sans mettre de côté les cas de multiples rebellions.
Il a souhaité que les Centrafricains aillent à cette fête avec l’esprit de paix et de réconciliation nationale.
Il a exhorté le gouvernement pour qu’il prenne ses responsabilités visant à assurer la sécurité sur toute l’étendue du territoire national, pour que la fête se déroule dans la fraternité, la paix et le revivre-ensemble.